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  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
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chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

                                                    ------------------------------00000000000000000-----------------------------------------




 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



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TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

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DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


30 juillet 2015 4 30 /07 /juillet /2015 06:57
Préparez-vous à une guerre s'un genre inconnu !

~~ ... Préparez-vous à une guerre d'un genre inconnu, sans règles ni lois..

. Ces pouilleux ne peuvent être plus clairs: « Faites-leur la guerre même si eux ne vous la font pas !

Pour reprendre ce qu’a dit récemment mon camarade Philippe, « il y en a beaucoup ici qui vont partir « la fleur au canon »… » : c’est vrai que cela fait peur.

Peur pour eux. Pensez un instant à nos grands-parents qui, en 1914, partaient en chantant et la fleur au fusil fiche une bonne raclée aux casques à pointe…

Trop de nos concitoyens (en fait la grande majorité) n’ont de la guerre que la vision donnée par les infos télévisées. Et tout le monde s’accorde pour dire que celles-ci masquent souvent la vérité car au service du pouvoir en place.

Rappelons-nous les fameuses frappes chirurgicales américaines lors de la tempête du désert. Chirurgicales ? A d’autres ! On a vu ensuite ce que cela avait donné. Les dommages collatéraux n’ont pas été minces !

Dans la panoplie guerrière du XXIème siècle, il y a également les drones, avec les visées infrarouges ou par satellites, via caméras embarquées, qui permettent de voir avec une très bonne précision et de canarder sans risque. On trouve cela sympa, vive la technique moderne : voir sans être vu, tirer sans risquer d’être soi-même atteint. Mais au sol, il en va tout à fait différemment. Quand on sent, même à distance, le souffle chaud – brûlant – d’une explosion, on se demande en une fraction de seconde si l’on ne va pas recevoir une pluie d’éclats dans la tronche. Quand on voit l’un de ses copains se faire sniper par un tireur embusqué on ne sait où, on se dit qu’on n’est en sécurité nulle part, et on hésite entre ne plus bouger et se tirer de là vite fait. Dans les deux cas, on risque sa peau. Mais on obéit aux ordres.

Quand on voit un véhicule sauter sur une mine, un VBL explosé par un LRAC, et un ou plusieurs personnels être projetés en l’air et retomber au sol comme autant de pantins désarticulés, on peut hésiter à poursuivre son chemin sur la piste. Et pourtant, sans se poser de question, on poursuit. Car dans de tels moments, l’objectif que l’on a en tête prime sur toute autre considération personnelle … bien que la peur soit toujours présente et noue les entrailles. Celui qui n’a jamais été confronté à ce genre de situation, celui qui n’a jamais tiré sur une cible humaine, c’est-à-dire bien visible et vivante devant lui, à quelques mètres, dizaines ou centaines de mètres, celui-là sait-il à quoi l’on pense lorsqu’on démonte et remonte son armement pour l’entretenir, pour enlever poussière et sable, en préparation d’une prochaine action ?

Car bientôt la gueule de l’arme crachera ses pruneaux et ses flammes. L’armement représente pour soi, lorsqu’on se trouve au sol, sur zone, la même chose que le pépin lorsqu’on est en l’air. Et dans les deux cas, on se dit : « Pourvu que ça tienne ! ». Mais tout cela, c’est dans le contexte d’une guerre dite normale. Si tant est qu’une guerre puisse être normale

. Dans celle qui nous pend au nez, puisque ces dégénérés veulent nous la faire, ce sera très différent. L’ennemi pourra être partout, non identifiable par un quelconque uniforme, sur un trottoir à un détour d’une rue, au volant d’une voiture ou perché sur une mobylette ou sur un scooter, dans un couloir de Métro, dans un hall de gare… Et ceux qui imaginent qu’ils pourront se comporter comme dans un jeu vidéo se mettent le doigt dans l’œil jusqu’au gros orteil. Car j’ai eu maintes fois l’occasion de le dire et de le répéter en d’autres lieux, ces jeux vidéo sur PC ou sur consoles sont un véritable poison pour l’esprit des jeunes qui, pour la plupart, s’imaginent qu’il est facile de tuer, et pour nombre d’entre eux, transposent trop facilement le virtuel dans leur réalité quotidienne.

Déjà, le premier tort de ces trucs est de banaliser l’horreur de la mort et de la destruction.

Lorsque j’entends dire qu’en plus des OPEX qu’ils ont connus avec Serval, Barkhane, Sangaris, nos soldats doivent également assumer des OPINT (comme l’opération Sentinelle) et ce avec des effectifs et des budgets en constante diminution, je me demande comment nous allons pouvoir faire face aux agressions qui vont se faire chaque jour plus présentes. Sinon en faisant appel aux réservistes ?

Présent, mon Général ! Toujours présents malgré les ans. Toujours volontaires, ces foutus réservistes, ces résistants, ces mécréants, ces rebelles à certains ordres mais toujours fidèles à la France et à son drapeau…

Etat de guerre. Etat de siège. Mais siège de l’intérieur, ce qui n’est pas courant mais qui sera particulièrement difficile à gérer. Cela peut avoir pour nom : insurrection, ou guerre civile. Et pourtant, ce qui nous attend n’est pas vraiment une guerre civile. Sauf si les gaucho-islamo-collabos s’en mêlent, ce qui est probable si l’on se souvient de ce qui s’est passé dans notre pays lors de la dernière ( ?) guerre mondiale.

Non, aujourd’hui, c’est une guerre qui nous est déclarée par un ennemi qui s’affiche comme tel, clairement et de façon de plus en plus ouverte. Combien de nos concitoyens pourraient gérer un combat à mains nues, au corps-à-corps, sans avoir été formés en conséquence ? Même avec une arme blanche à la main ? Et ceux-là mêmes qui déclarent, comme récemment sur RR : « tuer un barbare egorgeur-decapiteur en lui mettant une balle dans la tete ne me ferait ni chaud ni froid. » vont peut-être au-devant d’une grosse déconvenue.

D’où la réponse de Philippe dans l’un de ses derniers posts : Navré Cain, mais vous ne savez pas comment vous réagiriez si vous deviez tuer, VOUS NE L’AVEZ JAMAIS FAIT ! Car si la peur donne des ailes, dit-on, si elle permet de se surpasser dans des cas désespérés, elle a aussi pour effet de glacer, de figer sur place, de faire perdre tous ses moyens. Quand elle n’a pas pour conséquence de mouiller son pantalon. Mille pardons pour ce détail un peu scabreux mais pourtant purement physiologique, car sous l’emprise de la peur, d’une peur intense, les sphincters se relâchent, et cela, c’est hors du contrôle de la volonté.

Alors, ami qui pensez ou qui écrivez pouvoir, sans hésiter ni frémir, et sans état d’âme, coller une balle dans la tête à un islamiste, comme cela, froidement, comme à un stand de la Fête à Neuneu, mettez-vous un peu en situation. Imaginez-vous devant un pouilleux de barbu vous menaçant de son couteau au pied de votre immeuble, un soir en rentrant du boulot ou du ciné. Déjà, aurez-vous une arme avec vous, et de quel type, et à la main, prête à être utilisée ? Ensuite, rentrez-vous dans la tête que LUI aura l’intention de vous tuer, il sera préparé, mais que VOUS, vous serez forcément décontenancé, sous l’effet de surprise. D’où un temps de réaction non négligeable. Et probablement fatal. Sera-t-il seul ? N’y aura-t-il pas un ou plusieurs de ses coreligionnaires à ses côtés ou derrière vous ? Car c’est là le plus dangereux : ce qui se passe derrière vous, et que vous ignorez, et que vous n’avez pas le temps de prévoir ni de parer. Soyez réaliste, même vis-à-vis de vous-même : imaginez-vous sérieusement que cette racaille, le couteau de boucher à la main, va attendre que vous dégainiez votre flingue pour lui tirer une balle dans la tête ?

Je comprends fort bien votre état d’esprit : lorsque l’un de nos proches est menacé, parent, épouse, enfant, ou pire, s’il est déjà agressé, notre réaction spontanée est de punir l’agresseur, de lui rendre coup pour coup. La loi du talion en quelque sorte. Et là, lorsqu’il s’agit de mettre hors d’état de nuire, pas question de réfléchir à l’aspect proportionné de la riposte comme l’énonce la loi ! Je sais que la mienne, de réaction, serait du type définitif. Tout au moins, je ferai tout pour qu’elle le soit. Il faut être conscient qu’en une pareille circonstance, la riposte est en fait une vengeance instantanée, c’est humain. C’est en nous, et nous mûrissons cela depuis des années devant le terrible danger qui nous menace et qui était pourtant tellement prévisible. Même aguerri (l’êtes-vous ?), et on peut dire d’une certaine façon malheureusement aguerri par l’expérience, on ne peut jamais préjuger de l’issue d’un combat, surtout au corps à corps.

Je ne veux surtout pas vexer quiconque ni décourager qui que ce soit, car toutes les bonnes volontés seront les bienvenues, et même indispensables. Bien sûr, on apprend sur le terrain, à l’épreuve du feu diraient certains. Mais rien n’est facile, et ceux qui ont connu le feu, justement, ne serait-ce qu’une seule fois, ne sont pas prêts d’oublier cette expérience profondément marquante, sinon traumatisante.

Sachez que résister, non pas passivement mais de façon active, épauler Christine et Pierre dans leur tâche, peut se faire de multiples manières, chacun à sa mesure, selon ses possibilités. Ils nous en diront un peu plus, je crois, à la rentrée de septembre. Mon camarade Philippe disait il y a peu : « Il ne faut pas avoir honte d’avoir honte ». J’ajouterai, moi, et il sera certainement d’accord avec moi : « Il ne faut pas avoir honte d’avoir peur ». Car nous avons tous eu peur à un moment ou à un autre. Et même souvent. On dit que l’on a peur de ce que l’on ne connaît pas. Mais rares seront les Anciens qui n’auront pas peur que ce qu’ils ont connu ne se présente une nouvelle fois. Il y a des choses qu’on aimerait bien ne jamais revoir, ne jamais revivre. Mais malheureusement…

Parachutiste

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17 juillet 2015 5 17 /07 /juillet /2015 16:03

De nombreux indices permettent de penser que les Grecs préparent activement leur dépôt de bilan et le retour à la drachme. Par Jean Nouailhac Publié le 09/07/2015 à 14:10 Le Point.fr On va très vite savoir si ces Grecs nous ont roulés dans la farine. On va très vite savoir si ces Grecs nous ont roulés dans la farine.©Dimitri Messinis/AP/SIPA « Ne jamais croire un Grec, surtout s’il t’amène un présent. » Ces mots tirés de l’Énéide, déposés par Virgile dans la bouche de Laocoon qui ne voulait pas laisser entrer le cheval de Troie, sonnent comme un avertissement. Ne jamais croire un Grec… Cet Alexis Tsipras est apparemment un grand malin, un manipulateur professionnel qui a appris à mentir pendant sa rude formation aux Jeunesses communistes, le dernier parti stalinien d’Europe, mais c’est aussi un fin politicien doublé d’un metteur en scène médiatique de talent. Le voir faire chanter les dirigeants européens, les faire danser le sirtaki, les faire monter au cocotier comme des chimpanzés apeurés, les rudoyer devant son peuple hilare… c’est du grand art ! Jean-Luc Mélenchon, l’homme qui adore admirer ses propres incantations, l’a reconnu comme l’un des siens, et Hugo Chavez, qui a eu le temps de ruiner son pays avant de mourir, l’aurait certainement adoubé. Fin de l'horreur, horreur sans fin.

Voyons de plus près ce scénario du retour à la drachme : pendant une dizaine d’années, les Grecs se sont gavés d’euros en empruntant à tout-va quasiment au même taux que les Allemands, consommant plus de 200 milliards d’euros entre 2001 et 2010 et triplant leur dette publique pour la porter à 350 milliards. Or la Grèce est un petit pays de 11 millions d’habitants dont le PIB atteignait alors à peine 230 milliards. Lorsque les Européens se sont aperçus du désastre, en 2011-2012, ils ont fermé l’open-bar, puis ont commencé par annuler 100 milliards de créances, mais ont continué à subventionner le pays pour l’aider à s’en sortir. Sauf qu’ils n’ont pas su obtenir, en échange, la moindre réforme sérieuse. Tsipras sait que la Grèce ne remboursera jamais le tombereau de dettes, même quelque peu aminci, que ses prédécesseurs lui ont laissé. Ses concitoyens, eux, ayant « le choix entre la fin de l’horreur et l’horreur sans fin » (proverbe allemand), la faillite devenait inévitable. Autant l’organiser. Trésor de guerre. C’est là où le scénario devient absolument passionnant selon l’économiste Charles Gave, qui, le premier, a flairé le pot aux roses en réfléchissant à partir de l’adage bien connu : si vous devez 100 000 euros à votre banquier, vous avez un problème. Si vous lui devez 200 ou 300 milliards, c’est lui qui a un problème ! « La BCE est donc, dit-il, dans une situation où elle perd si elle arrête les financements, car cela forcerait la Grèce à sortir de l’Europe, et elle perd aussi si elle ne les arrête pas. » Alexis Tsipras, la décontraction hautaine et le sourire narquois, pendant qu’il occupe les médias avec des sautes d’humeur surjouées et qu’il amuse la galerie européenne, organise en sous-main la constitution d’un trésor de guerre que les autorités internationales ne pourront pas saisir. Charles Gave : « Logiquement, il aurait dû installer, comme à Chypre, des contrôles des changes, des contrôles des capitaux et que sais-je encore pour garder le peu de devises qu’il avait. Or, qu’est-ce que je constate ? Les déposants grecs peuvent librement transférer de l’argent de leur compte en Grèce à n’importe quel compte étranger [à leurs cousins en Australie, en Allemagne ou aux USA…], ou, s’ils n’ont pas de cousin, ils peuvent transformer leurs dépôts en billets de banque et les garder chez eux. » Calendes grecques.

Pendant que les médias audiovisuels européens, à voir les mines déconfites de leurs commentateurs à la langue de bois longue comme un jour sans pain, se délectent des malheurs supposés de « ces pauvres Grecs qui n’ont plus rien à manger puisqu’ils n’ont pas de quoi payer leurs achats, les distributeurs automatiques étant vides ou fermés », et pendant que tout ce que Paris compte de trotskos et de bobos se rue sur les antennes d’État et les chaînes d’info pour se plaindre des gémissements télévisés du petit peuple d’Athènes, pendant ce temps-là, donc, le trésor de guerre se constitue petit à petit, dans la coulisse. La masse monétaire grecque s’effondre officiellement. En réalité, une grande partie de cette masse monétaire s’est déjà déversée aux États-Unis, en Allemagne, en Australie et en lieu sûr, dans des coffres ou des boîtes à chaussures. Cela fait longtemps, plus de deux mille ans, que dure cette comédie, plus précisément depuis l’an 45 avant Jésus-Christ, lorsque Jules César inventa le calendrier romain. Les calendes désignaient les premiers jours de chaque mois, pendant lesquels les débiteurs devaient payer leurs dettes. Les Grecs étaient connus pour payer leurs dettes « aux calendes grecques ». En France, on dirait « à la saint-glinglin » !

Le sale gosse de l’Europe. Ce gros malin de Tsipras, qui sait s’y prendre pour jouer le sale gosse de l’Europe et faire peur aux petits marquis poudrés de la nomenklatura bruxelloise, a tout intérêt à faire durer le plaisir avant de déposer le bilan de son pays : tant que la Banque centrale européenne réescompte les bons du Trésor qui lui sont présentés par les banques commerciales grecques, la machine à augmenter le trésor de guerre souterrain peut continuer à fonctionner. Quand la musique s’arrêtera comme sur le Titanic, la Grèce fera défaut sur 300 milliards, dont une grosse partie – on parle de 100 milliards d’euros avancés par la BCE à la Banque centrale de Grèce – se retrouvera dans des coffres-forts en Grèce ou en dehors du pays. Et quand on reviendra à la drachme, qui perdra aussitôt 50 % de sa valeur initiale, l’économie locale « repartira comme une fusée » avec un énorme afflux de devises et de touristes du monde entier, lesquels débarqueront en masse après cette fabuleuse et gratuite campagne de publicité et paieront leurs vacances en Grèce deux ou trois fois moins cher qu’en Espagne, en Italie ou en France. Alexis Tsipras, qui a sans doute, en plus, trafiqué les résultats de son référendum/plébiscite lancé à la va-vite pour ne pas avoir d’observateurs étrangers sur le dos – de toute façon, « les dindes votent rarement pour Noël » (proverbe américain) –, n’aura plus alors qu’à se rapprocher de Poutine, Obama et Xi Jinping. Avec le Russe Poutine pour lui acheter une île et une grande base militaire face à la Turquie ainsi que le passage d’un oléoduc. Avec l’Américain Obama, qui est prêt à payer pour que la Grèce reste dans l’Otan. Avec le Chinois Xi Jinping, déjà propriétaire du port d’Athènes, pour lui vendre d’autres ports et quelques concessions diverses. Il pourrait même chercher à s’entendre avec les Européens pour reporter sa dette aux calendes grecques !

Quel scénario ! On va très vite savoir si ces Grecs nous ont roulés dans la farine. S’il y a bien une chose qu’ils savent faire, c’est mener les gens en bateau. Leurs armateurs sont les meilleurs et les plus malins du monde depuis la nuit des temps. L’épée du Grec Damoclès flotte maintenant au-dessus de l’Europe…

http://www.lepoint.fr/invites-du-point/jean-nouailhac/et-si-la-grece-nous-menait-en-bateau-depuis-le-debut-09-07-2015-1943324_2428.php

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29 juin 2015 1 29 /06 /juin /2015 14:42
HOLLANDE a choisi l' Algérie !

~~Maghreb: Hollande a pris le parti de l’Algérie Délaisser le Maroc est une grave erreur

Publié le 26 juin 2015 à 14:00 dans Monde

: «J’avais indiqué au roi que, pour moi, (…) il ne pouvait être question de commencer ma visite du Maghreb pour Les Républicains sans débuter par le Maroc» La carte postale qu’a envoyée Nicolas Sarkozy du Maroc, il y a quelques jours, est presque passée inaperçue. Pourtant, son hommage appuyé au roi Mohammed VI et le programme présidentiel qui lui a été concocté par les autorités marocaines en disent long sur les rapports entre la France et le Maghreb depuis l’élection de François Hollande.

Depuis que les socialistes sont aux commandes, les relations franco-marocaines se sont considérablement dégradées. Une enquête judiciaire sur le chef des services marocains, Abdellatif Hammouchi, a suffi à raviver la mauvaise humeur qui sépare Paris et Rabat. La monarchie chérifienne avait pourtant été célébrée pour son ouverture à la suite des printemps arabes: droit des femmes, mise en scène de la démocratie parlementaire, sécurité des touristes… À bien des égards, le Maroc apparaît plus moderne que l’Algérie, y compris lorsqu’on compare leurs chefs d’Etat respectifs.

Cause ou conséquence de la brouille marocaine, les relations entre Paris et Alger se sont considérablement réchauffées en trois ans. À Alger, la proximité et le ton particulièrement amical entre François Hollande et Abdelaziz Bouteflika ont contrasté avec les maladresses qui ont accompagné les visites en coup de vent de Mohammed VI à l’Élysée. L’armée algérienne a défilé sur les champs-Élysée, un ministre français s’est recueilli à Sétif pour commémorer les massacres du 8 mai 1945, la France n’a pas eu peur de se flageller pour amadouer Alger.

Malgré l’image déplorable de la démocratie FLN, François Hollande s’est rendu à deux reprises en Algérie où il a eu le rare privilège d’être reçu dans la résidence présidentielle médicalisée de Zeralda. Avec Bouteflika, la diplomatie médicale bat son plein. La sympathie personnelle de François Hollande pour l’indépendance algérienne contraste avec les difficultés de la droite à dialoguer avec l’Algérie.

Reste que les fruits du réchauffement franco-algérien se font attendre. Les contrats d’armements moisissent dans les cartons, domaine où la Russie reste le partenaire privilégié de l’armée algérienne. La coopération militaire au Sahel reste a minima. Le dossier des moines de Tibérine est gelé. En 2014, Pékin est devenu le premier partenaire commercial de l’Algérie, devant la France.

Bref, chaleureuse dans les discours, la relation stratégique franco-algérienne est à l’image du président algérien et de Laurent Fabius: en semi-léthargie. Ce malentendu explique la préférence constante pour le Maroc des présidences françaises successives. Depuis que le maréchal Lyautey a personnellement protégé la dynastie marocaine, l’alliance avec la France n’a pas cessé. Les échanges économiques, militaires et touristiques dominent largement et Paris apporte un soutien appuyé au Maroc dans la question du Sahara occidental. Ce qui irrite l’Algérie. Les frères ennemis du Maghreb se livrent une compétition pour le leadership au Maghreb et au Sahara. Mais l’Algérie, marqué par son passé colonial et les stigmates de la guerre d’indépendance, n’a jamais vraiment voulu compter sur la France pour rivaliser. François Hollande a sans doute cru qu’en s’éloignant du Maroc, il pourrait se rapprocher de l’Algérie en échange de quelques actes de contritions et de marques d’amitié envers Bouteflika.

C’était sans compter l’inertie de l’appareil d’État algérien. En trois ans, la nouvelle relation franco-algérienne n’a jamais atteint les niveaux de coopération entre la France et le Maroc. *

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24 mai 2015 7 24 /05 /mai /2015 16:45

~~ Le Comité National d'Entente -------------------------------------------------------------------------------- Paris le21 mai 2015 Panthéon et hommage à la Résistance : nous voulons de jeunes héros !

2015. Les Français commémorent le 70 ème anniversaire de la Libération. C’est avant tout le combat contre les nazis et l’envahisseur. L’Honneur de la France a été porté par tous ceux qui ont agi en ce sens. Ils ont été nombreux, certains ont eu des conduites héroïques.

Un plus grand nombre encore a été victime de la barbarie sans voir l’aube de la Libération. Des hommes et des femmes se sont engagés dans la résistance à l’occupant soit dans les Forces Françaises Libres, soit au sein des différents réseaux de l’intérieur. Ils méritent que le pays se souvienne d’eux et les cite en exemples. Les associations patriotiques et du monde combattant ont vocation à s’exprimer en ce sens

. Dans leurs rangs, très nombreux sont ceux, de toutes générations, qui ont donné des gages voire même leur sang au nom de leur indéfectible attachement à la France et donc à la République. La Libération c’est avant tout le retour du drapeau qui est le symbole même de la France.

Il doit être respecté en tout temps et en tout lieu par les anciens comme par les jeunes.

Le Comité National d’Entente a proposé en décembre 2014 au Président de la République cinq noms de jeunes héros, dont quatre Compagnons de la Libération, pour les faire « entrer au Panthéon » à l’occasion de la commémoration de la Libération. Aucune réponse ne lui a été faite. Il déplore cette indifférence incompréhensible mais il regrette plus encore qu’un signal ambigu soit fait à cette occasion.

La Jeunesse de France a généré des héros pour libérer la patrie durant cette deuxième guerre mondiale. Pourquoi alors leur préférer, à cette occasion, une victime de la barbarie, même comme Jean Zay ?

La confusion trop fréquente entre ceux qui sont des victimes, ceux qui font leur devoir et les héros, est une erreur. Le Comité National d’Entente réaffirme, à l’occasion de la prochaine cérémonie du 27 mai au Panthéon, qu’il eut été grand de glorifier de jeunes héros dont l’attachement au drapeau national n’aurait souffert d’aucune controverse ni d’aucune ambigüité.

Nous voulons au Panthéon de jeunes héros fiers du Drapeau de la République : tel est le sens de notre communiqué !

Le Général de corps d’armée (2s) Dominique DELORT Président du Comité National d'Entente

Associations signataires du présent communiqué A.C.U.F. (Association des Combattants de l'Union Française) A.E.A. (Association des Elèves de l’Ecole de l’Air) A.E.N. (Association des Anciens de l’Ecole Navale) A.E.T. (Association des Enfants de Troupes) A.N.C.G.V.M. (Association Nationale des Croix de Guerre et de la Valeur Militaire) A.N.C.M. (Association Nationale des Commissaires de la Marine) A.N.C.C.O.R. « Ceux de Cherchell » A.N.O.C.R. (Association Nationale des Officiers de Carrière en Retraite) ANOPEX (Association Nationale des Participants aux Opérations Extérieures) A.N.O.R.GEND (Association Nationale des Réservistes de la Gendarmerie) A.N.O.R.I. (Association Nationale des Réservistes de l’Infanterie) A.N.R.A.T. (Association Nationale des Réserves de l’Armée de terre) F.A.C.S. (Fédération des Anciens Combattants résidant hors de France) F.N.A. (Fédération Nationale de l’Artillerie) F.N.A.O.M. / A.C.T.D.M. (Fédération Nationale des Anciens d’Outre-Mer et Anciens Combattants TDM) F.N.A.C. (Fédération Nationale des Amicales de Chasseurs à pieds, alpins et mécanisés) F.N.A.P. (Fédération Nationale des Associations Parachutistes) F.N.B.M.I.G. (Fédération Nationale des Blessés Multiples et Impotents de Guerre) F.N.G. (Fédération Nationale du Génie) F.N.T. (Fédération Nationale du Train) F.R.E.S.M. (Fédération pour le Rayonnement et l’Entraide des Soldats de Montagne) F.S.A.L.E. (Fédération des Sociétés d’Anciens de la Légion Etrangère) L’EPAULETTE (Association des officiers de recrutement interne et sous contrat) La Fraternelle Militaire La Saint-Cyrienne (Association des Elèves et anciens élèves de l’Ecole Spéciale Militaire) MINERVE (association de l’enseignement militaire supérieur, scientifique et académique) Promotion VICTOIRE TREFLE (Elèves et anciens élèves de l’Ecole des Officiers de Gendarmerie) U.A.G. (Union des Aveugles de Guerre) U.N.A.A.L.A.T. (Union Nationale des Associations de l’A.L.A.T.) U.N.A.B.C.C. (Union Nationale de l’Arme Blindée Cavalerie et Chars) U.N.C. (Union Nationale des Combattants) U.N.A.C.I.T.A. (Union Nationale des Anciens Combattants d’Indochine, des T.O.E. et d’AFN) U.N.O.R. (Union Nationale des Officiers de Réserve)

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11 mai 2015 1 11 /05 /mai /2015 14:08

~~Un peu comme elle a trahi la Tchécoslovaquie au bénéfice des Nazis, la France veut contraindre Israël à abandonner des territoires, rendant en réalité un fier service au Hamas, au Jihad islamique et à l’État islamique. Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, à l’intention de soumettre au Conseil de Sécurité de l’ONU une résolution proposant un cadre de négociation pour la résolution du conflit israélo-palestinien. Selon ce cadre, les lignes de 1967 deviendraient la base de négociation des frontières entre Israël et le futur État palestinien. En d’autres termes, Fabius, et son supérieur, le président François Hollande, veulent qu’Israël abandonne les territoires de Judée et de Samarie qui reviendraient aux Palestiniens. Le fait que le contrôle de ces territoires soit considéré comme de la plus haute importance pour la sécurité d’Israël par le gouvernement démocratiquement élu de ce pays, leur semble tout à fait négligeable. Ils ne font pas beaucoup d’efforts pour de trouver une solution à l’effusion de sang interminable qui se poursuit en Syrie, en Irak, en Libye, au Yémen. Ils prétendent que c’est parce qu’ils ne savent pas comment traiter ces problèmes. Mais en ce qui concerne le conflit israélo-palestinien, ils affirment qu’ils savent exactement quelle est la solution, et ils n’ont aucun scrupule à l’imposer solution à Israël. « Il est nécessaire d’aller de l’avant pour trouver une solution à ce problème, » annonce Fabius non sans grandiloquence. Il y a 77 ans, à Munich, le premier ministre français Édouard Daladier croyait également, en toute confiance, qu’il détenait la solution à la crise germano-tchécoslovaque qui se préparait à l’époque. Il affirma au malheureux premier ministre tchèque Édouard Bénès que la zone des Sudètes pouvait être remise à l’Allemagne, bien que le gouvernement démocratiquement élu de son pays la considérait comme essentielle pour sa défense. Sa position était soutenue par le ministre français des Affaires étrangères Georges Bonnet. Ils étaient en parfait accord avec Neville Chamberlain et son premier ministre, Viscount Halifax. La suite de cette tragique histoire est bien connue. On serait ravi si Hollande et Fabius réalisaient qu’ils sont en train d’emboîter le pas à Daladier et à Bonnet. Ils ne sont pas les seuls. A Bruxelles, les bureaucrates de l’Union européenne font actuellement tout leur possible pour promouvoir la position de Fabius auprès des autres États membres. Parmi eux, on peut même trouver la République tchèque et la Slovaquie, qui ont désormais oublié leur amère expérience du passé. Tout comme Chamberlain et Daladier, qui soulignaient sans cesse qu’ils avaient à cœur les meilleurs intérêts de la Tchécoslovaquie, Hollande et Fabius affirment qu’ils ont les meilleures intentions, et qu’ils ont à cœur les intérêts d’Israël. Ils sont convaincus eux aussi, qu’ils savent mieux que le peuple d’Israël ce qui est bon pour lui. Hollande et Fabius sont si sûrs d’eux-mêmes qu’ils refusent de comprendre que si Israël se retire de Judée et de Samarie, ce ne sera en aucune manière la fin du conflit israélo-palestinien. De nouvelles revendications hostiles à Israël seront mises sur la table par le Hamas, le Jihad islamique et toute une série d’organisations terroristes qui prétendent représenter les Palestiniens. Le président Mahmoud Abbas, que Hollande et Fabius pressentent comme le futur négociateur palestinien, sera probablement renversé dès qu’il ne bénéficiera plus du soutien de l’armée israélienne dans son fief. Et le vide laissé par une évacuation israélienne sera vraisemblablement rempli par le Hamas, et peut-être même par les combattants de l’État islamique qui considèrent cette zone comme faisant partie du Califat islamique qu’ils ont créé et qui a l’intention lui aussi de placer le territoire de l’État d’Israël sous son contrôle. Quelle glorieuse fin du conflit israélo-palestinien ce serait. Ce serait l’enfer, et à ce moment-là Hollande et Fabius admettraient probablement qu’ils n’avaient pas de solution à ce conflit. Mais le mal serait fait. Avant d’appeler Israël à se retirer sur les lignes d’armistice tracées par les armées israéliennes et jordaniennes en 1949, un armistice violé par la Jordanie en 1967, Hollande et Fabius seraient avisés de réfléchir encore avant d’emboîter le pas à Daladier et à Bonnet.

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10 mars 2015 2 10 /03 /mars /2015 07:05

~~19 MARS 1962 : LE CESSEZ LE FEU en Algérie « Puissent les Français de l’Afrique du Nord ne pas avoir à maudire, un jour, une patrie ingrate !» (Maréchal Alphonse JUIN) C'est le dimanche 18 mars 1962 à 18h que fut officiellement rédigé à Evian l'acte de décès de l'Algérie française. A cet instant, la France était devenue celle que Joachim de Bernis dépeignait au comte de Choiseul après qu’elle eut cédé le Canada à l’Angleterre par le traité de Paris en 1763 : « La plus méprisable des nations est aujourd'hui la nôtre, parce qu'elle n'a nulle espèce d'honneur et qu'elle ne songe qu'à l'argent et au repos. Nous sommes à la dernière période de la décadence. » Ce même jour, De Gaulle déclara : « Il faut que la France, dans sa masse approuve ce qui vient d'être accompli en son nom. »" Il venait d’accorder au FLN tout ce que ce dernier exigeait depuis le début de la rébellion, et que les gouvernements de la IVème République, pourtant si décriés, avaient refusé, s’opposant à l’abandon vulgaire, sinon criminel, d’une population française, et n’acceptant pas que les drapeaux français s’inclinassent devant ceux de l’ennemi. La France suivait son guide... elle approuvait... et elle couvrait déjà par sa lâcheté le génocide qui se préparait. Du côté de la population française d’Algérie, c’était la consternation et l’effondrement, tandis que de l’autre, c’était le triomphe et, comme le précisa aussitôt le président du GPRA, « la grande victoire du peuple algérien ! ». Dans les milieux politiques, on s’efforçait de s’attribuer le mérite de cette issue. A gauche, on y voyait la conséquence d’une longue action menée à cette fin ; chez les gaullistes, on soulignait que le mérite en revenait au général, donc à eux-mêmes ! Dans les corps de troupe, c’était la joie et le triomphe des cris. Pour les appelés, c’était la perspective de revenir chez eux et de reprendre une vie calme… A Paris, dans la cour de la Sorbonne, pour célébrer « la Victoire », les étudiants de l’UNEF ornèrent d’un drapeau tricolore et d’un drapeau du FLN, la statue de Pasteur, tandis que des banderoles portaient le slogan : « Ecrasez l’OAS ». Sur les écrans de télévision, se découpaient comme des masques, les visages des hommes qui mentaient... Les Algériens, ces chefs de bande, érigés en divinités par un flot de sang, assurant que le bonheur et l'abondance naîtraient naturellement du départ des Français, et Fouchet, au mufle de primate, criant aux Européens d'Algérie : « Ne suivez pas les mauvais bergers... Vos vies et vos biens seront préservés !... » On faisait ainsi le malheur des Algériens et des Français. On livrait les premiers à la faim qui ne tarderait pas à se montrer et on poussait les seconds dans la ruine, l'exil et le désespoir pour sacrifier à des mythes et céder à la folie d'un homme dévoré par des rancunes et des cauchemars orgueilleux. « Le cessez-le-feu c'est la conséquence d'une victoire ! » avait osé déclarer le Ministre Coup de Frejac. Ce fut en vérité, devant le sacrifice de nos morts, devant les hommes de notre temps et devant l'Histoire, la consommation de la plus grande capitulation humaine et morale de la France, parce que sans défaite militaire. Il fut aussi le point de départ d'une des plus grandes tragédies de l'humanité contemporaine en raison des événements qu'il fit naître. - Le cessez-le-feu fut la honteuse tuerie du 26 mars 1962, rue d'Isly à Alger qui fit parmi la population civile européenne 80 morts et 200 blessés, tous victimes de la haine de de Gaulle, de ses barbouzes et de ses gendarmes. - Le cessez-le-feu fut la livraison aux égorgeurs du FLN de 150.000 Musulmans fidèles à la France qui furent torturés, émasculés, écorchés vifs, bouillis, mutilés, coupés en morceaux, écartelés ou écrasés par des camions, familles entières exterminées, femmes violées et enfants égorgés. - Le cessez-le-feu fut un million d'Européens qu'on livrait à la cruelle vengeance des vainqueurs. Cinq mille d'entre eux disparurent dans les semaines qui suivirent : hommes condamnés à la mort lente aux travaux forcés, femmes et jeunes filles livrées à la prostitution et à la traite des Blanches. - Le cessez-le-feu fut le coup de folie sanguinaire, l'épouvantable boucherie du 5 juillet à ORAN, devant l'armée française sans réaction, l'arme au pied. Les services officiels estimeront à plusieurs milliers le nombre des victimes de cette tragédie. - Le cessez-le-feu fut la spoliation, l'exode brutal et dramatique d'un million trois cent mille personnes, de toutes conditions, chassées par la haine, abandonnant ce qui était leur raison de vivre. - Le cessez-le-feu, fut enfin le sacrifice totalement inutile de trente mille jeunes soldats métropolitains. Sont-ils morts pour l'Algérie algérienne? Fallait-il vraiment sacrifier pendant plus de sept ans des centaines de milliers de vies humaines et des milliers de milliards pour franchir ce seuil ? Et le Sahara qui, pendant ce temps, n’en finissait pas de révéler ses richesses… Comme le disait très justement de Gaulle, les Algériens ne sont pas tous des Musulmans, encore moins des Arabes. Il aurait fallu, dans ce cas, trouver le moyen de faire une Algérie indépendante en tenant compte de tous les facteurs. Or, de Gaulle avait négligé, sinon méprisé, les Pieds-Noirs. Ces derniers ne participèrent à aucun degré aux conversations d’Evian d’où devait sortir l’Algérie future. Et pourtant, on l’avait appelé, lui, de Gaulle, le sauveur, pour conserver l’Algérie française ! Mais d’abandon en abandon, de largesse en munificence, de discours en référendums, on en était aux concessions suprêmes, à l’abdication, à la fin. Dès lors, tout s’enchaîna inexorablement. Ce fut l’hystérie collective, l’appel au meurtre, la soif de sang, le plaisir de tuer. Ce fut la violence qui détruisait sans savoir, le nombre qui ne pouvait produire que le mal, qu’il fût ouragan, torrent, incendie, invasion. L’instinct de férocité native s’était, chez tous, réveillé par les cruels supplices qui se multipliaient aux quatre coins du territoire et qui, au fil des jours, gagnaient en raffinements : « On danse à Paris, tandis que l’Algérie brûle » titrait le Daily Telegraph. A partir de ce jour, l’Algérie française n’allait plus être l’expression d’une revendication triomphante ; c’était un cri désespéré, presque une plainte : C’était une incantation. C’était un appel de détresse, c’était l’au-secours que les Pieds-noirs lançaient par delà la Méditerranée en rabâchant jusqu’à l’épuisement cette prière qui trouait l’espace et qui se heurtait au mur de silence et d’indifférence que la France avait érigé sur ses côtes. « Algérie française ! » c’était un appel au miracle, c’était l’espoir d’une intervention céleste… mais Dieu n’écoutait pas… et les Pieds-noirs étaient seuls, seuls avec leur peine et leur passion… comme ils l’avaient toujours été. José CASTANO

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25 janvier 2015 7 25 /01 /janvier /2015 10:56

~~ Pour un chef d’État français, il vaut mieux décapiter des femmes plutôt que les émanciper, être chef chamelier qu’académicien ! Jacques Martinez Journaliste Ancien chef d’édition à RTL (1967-2001)

Pour un chef d’État français, il vaut mieux décapiter des femmes plutôt que les émanciper, être chef chamelier qu’académicien !

Ni le président Chirac, ni son Premier ministre Jospin n’avaient daigné se déranger pour les obsèques d’un francophile, catholique, ancien ministre français, élu à l’Académie française puis président du Sénégal : monsieur Léopold Sédar Senghor !

Mais là, pour le roi d’un pays musulman dur, les chameaux qui s’y bousculent ne sont pas que des camélidés !

À commencer par François… En 2001, les Sénégalais ont espéré jusqu’au dernier moment la venue de Jacques Chirac ou de Lionel Jospin pour les obsèques de monsieur Senghor ! Ce grand francophile, amoureux de la France (qu’il a connue à 22 ans seulement, qu’il défendit en 39-45, où, en 1957, il épousa une Normande, Colette Hubert, et où il décéda, chez lui à Verson dans le Calvados), élève de Louis-le-Grand (où naît son amitié avec Georges Pompidou et Aimé Césaire dont il fit sien le mot « négritude ») puis de la faculté des lettres de Paris, premier agrégé noir d’université en France, professeur des lettres classiques à Tours puis au lycée Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne), membre de l’Académie française pour ses poèmes et ses écrits philosophiques, ancien député et ancien ministre de la République française !

Notons qu’en 40, simple 2e classe parce que non né en France, il faillit être fusillé par les Allemands !

Lire aussi : Feu notre ami le roi Paris n’est qu’à 5 heures de vol de Dakar : Jacques Chirac ou Lionel Jospin auraient pu faire le déplacement dans la journée.

Non, ils ont préféré s’y faire représenter par un « sous-ministre », le ministre délégué à la Coopération ! Bien que 9 jours séparèrent le décès des obsèques, Chirac avait eu cette pitoyable excuse : « Un important discours à préparer ! » À croire qu’il n’avait aucun conseiller sous la main pour le lui écrire !

Mais, là, pour « Son Altesse, Sire Abdallah ben Abdelaziz al-Saoud », fils du roi fondateur – par la force – de la dynastie Abdelaziz (1876-1953 : un 6e fils vient de lui succéder !), roi d’un régime musulman dur qui interdit toute croix (même rouge !) et qui applique la décapitation à toute personne critiquant l’islam !

Peu importe : les chefs d’État dont le nôtre se bousculent afin de se fondre dans le paysage saoudien, c’est-à-dire en participant plus à une course de camélidés qu’à une assemblée de dignes représentants du monde libre !

Tous ces démocrates partisans de la laïcité ou à la tête d’États prônant la religion chrétienne semblent, à l’image (mais sans la classe) des vassaux de notre France d’autrefois, jouer des coudes au portillon du chamelier en chef afin d’être qualifiés pour la course… aux armements ou du BTP ? Bien que Riyad soit bien plus loin de Paris que Dakar, notre Président a fait le voyage seul, des fois qu’un imam local nous coupe la tête de sa compagne pour relations hors mariage. Pour les hommes, le risque est moindre : quelques coups de baguette ! François est prudent : il y est allé en « célibataire »… Jacques Martinez

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17 janvier 2015 6 17 /01 /janvier /2015 17:03

Nos compatriotes avaient depuis longtemps l’air d’une bande de sales gosses se chamaillant pour des futilités dans une cour de récréation, ne voulant pas voir qu’ils avaient pourtant une belle école et la chance d’être là. Au lieu d’organiser des jeux qui les rassemblaient dans une saine émulation, ils formaient de petites bandes, le plus souvent pitoyables ou grotesques, mais qui finissaient par établir une sorte de dictature des minorités. Ils ne savaient plus dire « nous ». En même temps, une autre bande, grandissante, s’installait dans l’école, en modifiant les règles, les dispositions, l’aspect et la nature même.

Les Français avaient oublié leur pays, leur État, leur nation, leur patrie, leur civilisation. Ils se prétendaient volontiers « citoyens du monde », sans voir que le monde est bien trop grand pour un individu, et aussi bien trop concret pour des « idéologies », celles-là mêmes qui se réunissaient dans un magma nommé « mondialisation ».

Ils se gargarisaient de formules « politiquement correctes » et de consumérisme sans limites, sans voir que la mondialisation et l’une de ses structures, l’Union européenne, faisait d’eux les robots d’une société idéalisée et terrifiante décrite dans plusieurs romans d’anticipation.

Les Français, dans leur majorité, ne voyaient pas que la mondialisation se nourrissait d’un autre élément, l’islamisation, que ces deux fléaux que la nature n’aurait pas osé imaginer étaient à la fois rivaux et complices.

Quoi de mieux qu’une société où la politique et la religion (ou supposée telle) sont une seule et unique règle régissant la vie privée, familiale et publique ? Surtout quand ce système qui a pour nom « soumission » (islam en arabe) et dont le support idéologique est un livre à apprendre par cœur (coran signifie « récitation »).

Quand on a affaire à des gens soumis qui ne pensent à rien d’autre qu’à appliquer strictement ce qui est prescrit par un dieu imaginaire, on exerce sur eux un pouvoir sans limites et on peut aussi leur faire consommer encore plus qu’à des gens instruits et conscients usant de leur libre arbitre.

Mais voici l’heure.

Puisque l’on a refusé les institutions il n’y a plus d’instituteur pour annoncer la fin de la récréation.

L’instituteur, l’institutrice de mon enfance, eux qui étaient titulaires du savoir et de l’autorité, qui nous apprenaient à discerner le Bien et le Mal, ont été remplacés par des staliniens désœuvrés qui n’apprennent même plus l’Histoire à nos enfants. Parce qu’il ne faut surtout pas que ceux-ci sachent d’où ils viennent, de crainte qu’ils ne voient aussi où ils vont : dans le néant d’une société sans repères, sans racines et sans valeurs, comme si tout était à vendre, même les consciences et les sentiments.

Certains tentent-ils de faire face ? Ils sont assaillis par les associations de parents d’élèves, qui prétendent savoir mieux que les professeurs ce qui doit se passer dans l’école. On voit le résultat : des bacheliers incapables de maitriser notre langue maternelle et nationale, l’un des piliers de notre République, l’élément obligé des relations et des apprentissages, le minimum nécessaire pour bien se comprendre et se comprendre bien.

On se croirait dans le film « Le retour de Don Camillo », où l’on voit des enfants s’approprier les inimitiés et les querelles des adultes… Où l’on voit qu’à force de vouloir que ce soit son clocher qui indique l’heure avant celui des autres, on ne sait même plus l’heure qu’il est… La voilà, la bataille des idéologies où l’on sabote les affaires des autres même dans le malheur.

Mais voici l’heure

. Et c’est l’islam qui vient de siffler la fin de la récré.

Je suis triste. Je le suis pour mes enfants et pour tous les jeunes d’aujourd’hui qui n’ont rien fait pour mériter cela.

Je suis triste pour nos morts glorieux, les Poilus, les Résistants, pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour que la France vive libre.

Je suis triste pour les trente-cinq mille soldats de notre Légion étrangère qui sont morts sur les champs de bataille.

Je pense aux millions d’immigrés qui sont venus en France durant des siècles pour offrir leurs efforts, leur travail et leur intégration tant réussie qu’on n’employait même pas ce mot, en reconnaissance pour la liberté et la paix sociale.

Je suis triste pour ceux qui viennent encore chez nous pour y trouver cette même liberté et cette même paix sociale parce qu’ils sont persécutés dans leurs pays d’origine, notamment les chrétiens d’Orient et toutes les victimes des dictatures d’aujourd’hui : résidus du communisme, régimes autoritaires mondialisés et États islamiques intolérants.

Je suis triste pour nos amis juifs qui sont de plus en plus nombreux à faire leur Aliya (retour à la Terre Promise) parce qu’ils ne sont plus en sécurité chez nous, avec nous. Non pas à cause d’une supposée extrême-droite, mais à cause de l’anti-judaïsme des bobos-gauchos alliés de l’islam dont le texte fondateur prescrit explicitement qu’il faut faire la guerre aux Juifs.

C’est écrit. Aujourd’hui beaucoup de jeunes Français partent pour d’autres pays plus prometteurs et nous ouvrons nos portes à des populations profiteuses, vindicatives et hostiles alors qu’il n’y a déjà plus de travail et de logements pour satisfaire tous les besoins.

Comment en sommes-nous arrivés là ?

Nous avons depuis longtemps abandonné, renié ce qui nous a faits tels que nous sommes. Nous avons cru à des chimères et oublié le sens du devoir en croyant que nous n’avions que des droits. Nous avons confié notre destin à des dirigeants qui n’étaient plus patriotes en croyant à la mondialisation ou à une sorte de communisme amélioré.

Les systèmes qui ont prétendu régenter le monde entier ont causé les pires catastrophes et les pires génocides : le communisme et le nazisme. Nous savons ce à quoi ils ont mené.

Aujourd’hui deux autres ont cette prétention de domination planétaire : la mondialisation et l’islam. Nous avons traité les patriotes de ringards, xénophobes, cocardiers, racistes et même fascistes. Nous avons laissé insulter notre drapeau, publier un livre intitulé « Nique la France », nous avons laissé siffler notre Hymne national et permis que des joueurs d’équipe de France refusent de le chanter.

Nous avons laissé les bobos-gauchos de l’Éducation nationale faire croire à nos enfants que la France est un pays multiculturel.

Nous avons laissé notre Justice libérer des voyous, des violeurs, toutes sortes de récidivistes dangereux avec les conséquences que l’on sait, et même des terroristes, mais aussi condamner les honnêtes gens en état de légitime défense.

Nous avons désarmé notre police tandis que les malfaiteurs se sur-armaient et nous lui avons enlevé sa présomption de légitime défense.

Nous l’avons laissée insulter et nous avons permis que son autorité soit remise en cause. Nous avons transformé nos prisons en lieux de villégiature et nous avons accordé aux détenus des droits que leurs méfaits leur avaient fait perdre.

Nous avons supprimé la peine de mort et en avons laissé le monopole aux assassins et aux terroristes. Pour avoir le pétrole des pays arabes, nous avons même vendu notre âme au diable de l’islam.

Nous avons laissé notre patronat accélérer la venue de populations étrangères et le plus souvent maghrébines pour avoir une main d’œuvre soumise à bon marché, et nous l’avons aussi laissé délocaliser nos emplois tout en important de plus en plus de produits fabriqués ailleurs, au nom du « progrès » et de la mondialisation.

Nous avons permis le regroupement familial de travailleurs dont la précarité de l’emploi justifiait qu’ils devaient retourner dans leur pays d’origine en fin de contrat.

Nous avons octroyé à des étrangers des droits plus importants qu’à nous autres Français. Paradoxe inouï : nos administrations sont tatillonnes envers nous, mais laxistes avec les étrangers, fussent-ils en situation irrégulière et donc contrevenant à la loi.

Nous avons laissé l’islam s’implanter dans notre pays de tradition chrétienne, alors même que le livre fondateur de l’islam prescrit aux musulmans d’établir un califat dans le monde entier.

Nous avons fait la guerre aux sectes mais oublié qu’aucune d’entre-elles n’avait des prescriptions aussi mortelles que certaines contenues dans le coran, par exemple celle-ci : « Quand vous rencontrerez des infidèles, tuez-les jusqu’à en faire grand carnage » -le coran, chapitre (sourate) 47, verset 4.

Nous avons accepté d’être envahis par des étrangers dont certains arrivent avec armes et uniformes et nous leur construisons des bastions à nos frais.

Nous avons oublié l’Histoire, le terrible sort des Pieds-Noirs et des Harkis.

C’est pourtant à cause de l’islam que toute la moitié nord de l’Afrique est déstabilisée, que nous devons accepter d’être traités comme des malfaiteurs avant d’embarquer dans un avion, que nous avons supprimé les consignes automatiques et que nos poubelles publiques doivent être transparentes.

Nous avons exprimé notre repentance pour la colonisation de l’Afrique du Nord, en oubliant que l’intervention française dans cette région avait été motivée par les incessantes attaques des pirates barbaresques qui duraient depuis des siècles tout autour de la Méditerranée, pillant, tuant, détruisant et emmenant en esclavage les femmes et les enfants.

Nous avons oublié ces terribles rançons payées par nos ancêtres à la barbarie.

Nous avons renvoyé en Algérie l’un des terroristes des Jeux Olympiques de Münich au lieu de le remettre à nos alliés allemands qui en demandaient l’extradition.

Nous avons été l’un des premiers pays à accepter sur son sol la représentation « diplomatique » d’une entité terroriste nommée « Organisation de Libération de la Palestine ».

Nous avons abandonné le jeune et petit État d’Israël entouré d’ennemis mortels, alors que nous aurions dû rester son allié inconditionnel.

Qui se souvient que la plupart des pays arabo-musulmans d’aujourd’hui n’étaient ni musulmans ni arabes avant l’islam conquérant ? Et qu’en est-il des populations colonisées par l’islam ? Que deviennent les Kabyles, les Berbères, les Kurdes, les Coptes, les Assyriens, les Chaldéens et tant d’autres ?

Nous avons renié notre identité au nom des droits de l’homme en oubliant qu’à force de défendre le droit des autres, l’on finit par perdre le sien. Nous avons ainsi laissé s’échapper notre droit de peuple souverain à l’identité nationale, à notre indépendance, à notre culture, à nos traditions. Nous avons oublié que ce qui fait la richesse d’une nation, ce sont ses ressources naturelles et le travail de son peuple.

Que cette démarche spontanée dans l’intelligence, l’effort et la cohésion apporte naturellement à ce peuple la légitime propriété de son sol. Que sa prospérité ne se trouve que dans sa souveraineté. Que ce ne sont pas les artifices de la finance apatride ou les théories intellectuelles qui la lui donnent.

Nous avons oublié que ce qui fait l’identité collective des individus, c’est leur participation au partage et à l’héritage d’une civilisation. Que cette évolution permanente dans la conscience, l’harmonie et la fidélité apporte à ces individus la compétence territoriale de leur société. Que ce ne sont pas les artifices de la politique ou de dérisoires papiers administratifs qui la leur donnent.

Nous avons laissé s’exprimer et se développer des associations d’idiots utiles subventionnées par les collectivités et nous leur avons permis de se porter partie civile auprès des tribunaux.

Nous les avons laissées imposer le « politiquement correct » et la dictature des minorités au détriment de la Res Publica, le bien commun.

Nous les laissons à présent distiller leur venin jusque dans nos écoles. Nous avons donné aux étrangers le droit du sol opportuniste et automatique, à la place du droit du sang légitime ou de celui de l’assimilation motivée et réussie. Quels que soient leurs agissements, nous les avons considérés comme des « chances pour la France ».

Nous avons abandonné nos prénoms traditionnels au bénéfice d’une sorte de mondialisation phonétique sans culture et à celui de l’islam conquérant.

Nous pouvons ainsi voir aujourd’hui l’état-civil enregistrer un prénom signifiant « Glaive de l’islam » (Saïf al islam en arabe). Au nom de la tolérance, mais en fait par lâcheté, nous avons laissé un nombre grandissant de cités et de quartiers devenir des zones que les journaleux appellent « de non-droit », mais qui sont en fait des lieux de droit islamique perdus par notre République.

Nous avons laissé des blasphémateurs sacrilèges s’en prendre aux édifices, aux œuvres et aux lieux saints de la Chrétienté en prétendant qu’il s’agissait de liberté d’expression, mais notre Justice trouve recevable toute plainte de l’islam.

Nous avons laissé dénigrer nos valeurs de civilisation inspirée du christianisme, mais nous avons encouragé l’islam à s’installer chez nous. Au nom d’une laïcité dévoyée nous avons laissé nos politiciens et notre Justice remettre en cause des consensus traditionnels séculaires. Nous supprimons les crèches et les arbres de Noël, mais nous construisons deux mosquées par semaine.

Nous avons dénigré nos militaires en oubliant que lorsqu’ils s’engagent, ils signent un chèque en blanc avec la France, avec nous, dont le prix peut s’élever jusqu’à leur propre vie. Nous avons supprimé le service militaire, dénouant ainsi l’un des liens essentiels entre la jeunesse et la nation, ne lui apprenant plus que les devoirs sont le prix du droit et que vivre ensemble exige des concessions et des efforts.

Nous avons fait croire à nos enfants que l’on peut vivre dans un monde de bisous à nounours.

Nous avons laissé la « gauche » et la « droite » nous diviser alors qu’elles ont poursuivi la même politique mondialiste et antipatriotique. Notre petit président qui « n’aime pas les riches » a appauvri la France qui vient de reculer au sixième rang mondial, avant peut-être de devenir un pays sous-développé, terreau fertile aux idéologies mortifères corrompant les idéaux de la jeunesse et menant au terrorisme, alors même qu’il l’a aussi fragilisée en réduisant notre Défense nationale et nos forces de l’ordre.

Nous avons honte d’afficher notre drapeau, nos couleurs nationales, comme le font pourtant des millions d’Américains lucides et fiers de leur pays.

Nous avons oublié ce que disaient les grands hommes de notre Histoire à propos de l’islam, eux qui avaient la chance de ne pas être censurés par le « politiquement correct » stalinien imposé par les idiots utiles qui intentent des procès aux patriotes et à tous ceux qui disent des vérités dérangeantes.

Nous avons oublié que l’un des rares personnages historiques à faire l’éloge de l’islam a été le Reichführer SS Heinrich Himmler, l’ami de Mohammed Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem hébergé par le régime nazi qui lui permit de créer trois divisions de SS musulmans en Europe de l’Est.

Au prétexte angélique de tolérance, nous avons dialogué avec le Mal, comme nos politiciens des années trente avaient pactisé avec Hitler.

Ils ont reculé peu à peu et l’ont ainsi laissé maître de l’Europe. Quand il est revenu des « Accords de Münich », le Premier ministre britannique Neville Chamberlain a eu droit à cette célèbre phrase de son futur successeur Winston Churchill : « Entre la guerre et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous aurez quand même la guerre ».

Nous avons fait de même et nous avons maintenant le même résultat. Voilà à quoi nous ont conduits quarante ans de renoncement national, de soixante-huitards attardés participant aux décisions de l’État. La main jaune du « Touche pas à mon pote » des idiots utiles est devenue la main verte tachée de sang.

L’islam vient donc de siffler la fin de la récré dans notre cour.

C’est la guerre, ici, chez nous et maintenant. Nos Anciens, durant l’Occupation, ont dû s’adapter à cela en se trouvant dans une situation qu’ils auraient sans doute préféré éviter. Ils ont résisté. Ils ont vaincu. Soyons dignes d’eux.

Aujourd’hui, c’est une guerre de la civilisation contre la barbarie. Contrairement à ce que prétend encore notre Premier ministre, c’est bien une guerre de civilisations. Encore faut-il bien identifier et nommer notre ennemi si nous voulons gagner cette guerre. Reprenons à notre compte la devise de notre 14ème Division d’Infanterie, qui est aussi le titre d’un livre du maréchal Jean de Lattre de Tassigny : « Ne pas subir ».

Daniel Pollett

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17 décembre 2014 3 17 /12 /décembre /2014 16:41
Bagnolet : La gauche fête la toussaint rouge

: La gauche unie fête la Toussaint rouge qui commença la guerre d’Algérie le 1er novembre 1954 ·

- La municipalité socialiste de Bagnolet, soutenue par toute la gauche unie pour une fois, fête le soixantième anniversaire des assassinats qui ont commencé la guerre d’Algérie le 1er novembre 1954, ce qu’on a surnommé la Toussaint rouge

. Avec une exposition intitulée « Algérie, un peuple, ses résistants ». Cette provocation marque l’abaissement de l’esprit public et bafoue la Nation.

La gauche unie, enfin L’exposition, qui se poursuit jusqu’au 7 novembre, se double d’une soirée cinéma très spéciale le 3, destinée à glorifier le soulèvement algérien. Pour cette initiative, la municipalité socialiste a reçu le soutien des Verts, des Radicaux de gauche, du Parti de gauche et même du PC. Une gauche unie dont rêverait François Hollande, comme elle l’était sous Giscard, et comme elle ne le fut jamais durant la guerre d’Algérie, heureusement pour l’honneur de certains socialistes et radicaux.

Le bilan de la guerre d’Algérie Cette gauche unie se veut laïque et antiraciste. Peut-être a-t-elle oublié que le congrès de la Soummam, qui a donné son véritable élan au soulèvement algérien, se tint sous la coupe des oulemas, et que depuis, l’Algérie française laïque et multicommunautaire a été remplacée par une dictature militaire d’où les Européens ont été chassés, où les Kabyles sont brimés, dictature marquée par les poussées sanglantes du FIS, du GIA et d’autres mouvements islamistes extrêmes ?

La charia s’est d’ailleurs largement installée dans les faits et partiellement dans le droit.

Trahison des idéaux de gauche ? Ou mise en évidence de ses objectifs réels ?

Cette gauche unie se prétend pacifiste et pacifique. Sans doute n’a-t-elle pas pris garde que le 1er novembre 1954 les terroristes du FLN lançaient une vaste vague d’attentats aveugles pour la plupart, qui ne fit heureusement que dix morts, faute de capacité technique chez les tueurs.

Elle a zappé aussi, semble-t-il, l’horrible théorie de lâches assassinats que fut souvent, du côté du FLN, la guerre d’Algérie.

Sur le Boulevard Voltaire, Manuel Gomez a eu la délicatesse de n’en rappeler que trois, Palestro, el Halia et Mélouzza : il faut dire que l’intégralité lèverait le cœur du lecteur, tant par la masse de sang répandue, par la nature des victimes, femmes, enfants, vieillards, prisonniers, que par les méthodes, yeux crevés, oreilles et nez coupés, cadavres émasculés retrouvés les testicules dans la bouche, etc.

On ne dira rien des dizaines de milliers de harkis dépecés, salés, bouillis ou simplement liquidés au couteau, des milliers d’Européens et d’Européennes enlevés et assassinés après l’armistice, dont bien des femmes envoyées au bordel. Bagnolet et la falsification de l’histoire Quand l’histoire sera débarrassée des propagandes grossières dont la gauche unie de Bagnolet est un vivant exemple, on reconnaîtra peut-être que la majorité des morts musulmans de la guerre d’Algérie ont été tués par la rébellion, et que l’armée française a fait là-bas un travail magnifique.

On notera aussi que le FLN mène depuis 1962 une interminable guerre civile dont les victimes sont littéralement innombrables. Des chefs FLN, et non des moindres, Hocine Aït Ahmed, Fehrat Abbas, tout en conservant leurs convictions, ont fait part de regrets. Pas la gauche unie de Bagnolet.

Elle n’a rien appris, elle ne sait rien et ne veut pas le savoir. Sans doute l’indépendance de l’Algérie était-elle inéluctable, mais il y a la manière, et le résultat. Sans doute aussi l’heure est-elle à l’oubli des coups donnés de part et d’autre, au pardon, mais justement : la « fête » de Bagnolet pour célébrer la Toussaint rouge est une mauvaise action.

Une insulte à la vérité. Une insulte au bon sens, qui exige de ne pas réinfecter les plaies. Cette provocation est encore plus bête que méchante, encore plus absurde que criminelle. Ne reprochons pas aux activistes de la gauche unie de trahir leur pays : cela n’a aucun sens à leurs yeux, pas plus qu’à ceux de leurs devanciers, qui, en portant les valises du FLN, ont aidé à faire couler des flots de sang.

Montrons leur simplement qu’ils trahissent leurs propres idéaux, et qu’en servant leurs faux dieux d’hier, ils risquent aujourd’hui de provoquer artificiellement une injuste animosité des Algériens contre la France, et en retour, une exaspération, une épouvantable colère de la France contre les Algériens.

Le moment semble venu de prier pour y échapper.

La fête de la Toussaint, en rouge Petite cerise sur ce gâteau d’immondices, la gauche unie de Bagnolet a choisi la fête de Toussaint, la plus populaire en France, où toutes les familles sont rassemblées dans le souvenir de leurs morts, pour faire son mauvais coup.

Comme s’il s’agissait de semer la désunion dans le peuple français, et, par surcroît, de changer la nature d’une fête de paix chrétienne pour en faire une fête d’affrontement politique, de mémoire falsifiée, de guerre civile, seulement mentale heureusement – pour l’instant

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11 décembre 2014 4 11 /12 /décembre /2014 08:20
Une crèche, un chant de noël, un sapin illuminé......

~~ Jeudi 11 décembre 2014

L'Aïd et les Belphégor en pleine ville, ça ne vous gêne pas, messieurs les Ayatollah de la laïcité ?

Par respect de la laïcité devient le prétexte pour détruire le christianisme, afin de créer un vide, vide à combler au plus vite par l’idéologie islamo-nazie.

La crèche, symbole chrétien dans un pays chrétien, n’est exposée qu’une dizaine de jours par an, mais cela offusque les soi disant « libre penseurs » à la solde des lobbies antichrétiens, mais pro-islam.

Une crèche, un chant de Noël, un sapin illuminé, mais quelles horreurs pour les défenseurs de la laïcité, surtout motivés par leur haine du christianisme.

Songez aux pauvres enfants musulmans, qui pourraient être traumatisés à l’écoute d’un chant de Noël à l’école, à la vue d’une crèche dans le hall d’une administration, dans une salle de classe, sur une place publique, ils sont si délicats, si sensibles, ces petits!

Par contre, les femmes voilées, en niqab, en hijab, en burqa, ces masses informes, sans visage, qui déambulent dans nos rues, à longueur d’année, ces salafistes en tenue religieuse du VIIe siècle, les cantines halal, les fêtes musulmanes, les égorgements d’innocents moutons, au nom de leurs traditions barbares, les prières de rue, les financements des « casernes » de la haine par les maires, en contradiction totale avec la loi de 1905, etc. ne semblent pas heurter les ayatollahs de la laïcité, ces esprits mesquins, si prompts à citer en justice, quiconque ose s’opposer à leur « libre pensée » !

Ces « libre penseurs » sont-ils aussi financés par les ennemis du Monde libre, pour qu’ils s’acharnent de la sorte contre les symboles et les traditions chrétiennes, tout en étant si angéliquement bienveillants, si admirablement conciliants envers cette pseudo religion suprémaciste et liberticide, qui envahit jour après jour nos lieux de travail, nos écoles, nos rues, nos vies?

Bientôt, pour ces tordus, un ciel étoilé sera aussi une offense à la laïcité, car l’Etoile du Berger est liée à la nativité du Christ.

Seuls les croissants de lune seront glorifiés et admis par ces tocards de la laïcité à géométrie des plus variables!

Cette vile attaque contre la crèche s’est retournée contre ces laïcards, elle a uni les croyants et les non croyants dans une même pensée : la défense de nos traditions chrétiennes, de notre identité, de notre pays, une sorte de miracle de Noël ! Noël, un mot, qu’ils aimeraient proscrire … et remplacer peut-être par … Aïd?

Rosaly

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