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  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
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chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

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 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



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TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

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DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 18:15

JEAN ZAY ~~ Figure du Front Populaire,certes, mais résistant ,sûrement pas puisqu'il a été incarcéré de juillet 40 à son assassinat en44

. Ministre de l'Education Nationale,très actif , soucieux de la formation "citoyenne" il a aussi été un écrivain sulfureux. L'ironie de la "petite histoire" sera peut-être de le voir ensevelir dans un drapeau exécré Beau choix du Président de la République.

Jean Zay – Le Drapeau (1924) Le poème qui suit a été écrit en 1924 par Jean Zay que François Hollande va faire entrer au Panthéon. Ils sont quinze cent mille qui sont morts pour cette saloperie-là. > Quinze cent mille dans mon pays, Quinze millions dans tout les pays. > Quinze cent mille morts, mon Dieu ! > Quinze cent mille hommes morts pour cette saloperie tricolore… > Quinze cent mille dont chacun avait une mère, une maîtresse, > Des enfants, une maison, une vie un espoir, un cœur… > Qu’est ce que c’est que cette loque pour laquelle ils sont morts ? > Quinze cent mille morts, mon Dieu ! > Quinze cent mille morts pour cette saloperie. > Quinze cent mille éventrés, déchiquetés, > Anéantis dans le fumier d’un champ de bataille, > Quinze cent mille qui n’entendront plus JAMAIS, > Que leurs amours ne reverront plus JAMAIS. > Quinze cent mille pourris dans quelques cimetières > Sans planches et sans prières… > Est-ce que vous ne voyez pas comme ils étaient beaux, résolus, heureux > De vivre, comme leurs regards brillaient, comme leurs femmes les aimaient ? > Ils ne sont plus que des pourritures… > Pour cette immonde petite guenille ! > Terrible morceau de drap coulé à ta hampe, je te hais férocement, > Oui, je te hais dans l’âme, je te hais pour toutes les misères que tu représentes > Pour le sang frais, le sang humain aux odeurs âpres qui gicle sous tes plis > Je te hais au nom des squelettes… Ils étaient Quinze cent mille > Je te hais pour tous ceux qui te saluent, > Je te hais a cause des peigne-culs, des couillons, des putains, > Qui traînent dans la boue leur chapeau devant ton ombre, > Je hais en toi toute la vieille oppression séculaire, le dieu bestial, > Le défi aux hommes que nous ne savons pas être. > Je hais tes sales couleurs, le rouge de leur sang, le sang bleu que tu voles au ciel, > Le blanc livide de tes remords. Laisse-moi, ignoble symbole, pleurer tout seul, pleurer à grand coup > Les quinze cent mille jeunes hommes qui sont morts. > Et n’oublie pas, malgré tes généraux, ton fer doré et tes victoires, > Que tu es pour moi de la race vile des torche-culs.

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 07:09

28 février 2014

1 MARS 1962 Document transmis par José Castano

L’assassinat de la famille Ortéga « Aucune cause ne justifie la mort de l’innocent. Si je peux comprendre le combattant d’une libération, je n’ai que dégoût devant le tueur d’enfants » (Albert CAMUS) Le printemps était revenu, avec ses éveils de sève, les gouttelettes vertes et les blanches éclosions des fleurs au bout des branches. C’était le retour des papillons, des oiseaux, de la vie. Tout reverdissait comme par enchantement ; les mimosas, fleuris à profusion, ressemblaient à d’énormes bouquets dans lesquels les colibris chantaient de leur toute petite voix douce, pareille à la voix des hirondelles qui jaseraient en sourdine. Et la nature s’était tant hâtée d’enfanter tout cela, qu’en huit jours elle avait tout donné… Pourquoi tant de hâte ? Savait-elle alors que c’était là son dernier printemps ?… Voulait-elle offrir une ultime vision de Paradis à ceux pour qui le glas allait sonner ? Le 1er mars 1962, tombait un jeudi. Il faisait le temps même de la vie, le temps qu’on imagine pour le Paradis. Un air doux et léger, un ciel aux profondeurs bleues à qui le soleil réservait sa plus fastueuse débauche de lumière, une senteur subtile de jardin laissait supposer une journée radieuse… Il était 14h30, un groupe de Musulmans fit irruption dans la conciergerie du stade de La Marsa, à Mers El-Kébir, tout près de la base militaire. Dans une véritable crise de folie meurtrière collective, ces hommes s’emparèrent de la gardienne, une européenne de trente ans, Mme Josette Ortéga et, sans la moindre raison, à coups de hache, la massacrèrent. Couverte de plaies affreuses, dans un ultime effort, elle tenta de s’interposer entre les bourreaux déchaînés et son petit garçon, mais en vain. Les tortionnaires déments frappèrent encore sous les yeux horrifiés du petit André, quatre ans, puis quand il ne resta plus qu’une loque sanguinolente, ils se saisirent de l’enfant et lui broyèrent le crâne contre le mur. Alors que, leur forfait accompli, ils s’apprêtaient à partir, ils aperçurent la fillette, Sylvette, cinq ans, qui venait du jardin, les bras chargés de fleurs. Aussitôt l’un des hommes se jeta sur elle, la roua de coups puis, la saisissant par les pieds, lui fracassa la tête contre la muraille. Quand M. Jean Ortéga, employé à la direction des constructions navales, franchit la grille du stade, le silence qui régnait le fit frissonner. D’ordinaire, ses enfants accouraient, les bras tendus dans un geste d’amour. Une angoisse indéfinissable le submergea. Il approcha lentement, regarda autour de lui… puis, là, dans la cour, un petit corps désarticulé tenant encore dans ses mains crispées des géraniums, la tête réduite en bouillie, une large flaque de sang noirâtre tout autour. L’univers qui tourne comme une toupie : rouge, noir, blanc ; parler… crier… non… rien : l’effondrement enfin, salutaire, libérateur, mort et vie à la fois : le hurlement. Il se précipita, se figea devant le corps de son enfant, les yeux fixes, la bouche ouverte, semblant avoir été atteint par une soudaine paralysie. Puis son regard se porta à l’entrée de la maison… une mare de sang, un corps gisant, disloqué, mutilé par d’horribles blessures et près de lui, une petite forme qui n’avait plus de visage humain. Ce fut l’écroulement, la folie, la fin du monde… … Ce sont là des mots qui pleurent et des larmes qui parlent… Comme on pouvait s’y attendre, la funeste nouvelle se répandit comme un éclair. Le nom des victimes courut sur toutes les bouches ; les commentaires, les controverses violentes, les supplications lamentables, les récits décousus, les vociférations se fondèrent en une rumeur profonde d’ouragan prêt à se déchaîner. Les Kébiriens étaient anéantis. La famille Ortéga était connue et aimée de tous. Les supporters du club de football « La Marsa » la côtoyait chaque dimanche. Après le choc, ce fut la révolte… Comment demeurer impassible après une telle monstruosité ? Comment prêcher la modération à un père qui découvre pareille horreur ? Quelles paroles de consolation pourrait-on lui apporter ? La lutte pour l’indépendance de son pays justifie-t-elle de semblables abominations ? Et la rumeur s’amplifia… et le tonnerre gronda… - Ils sont morts ? Comment sont-ils morts ? Qui a fait cela… Il y avait dans ces questions un frémissement de colères, un foisonnement de fureurs, une tempête encore contenue de vengeances. L’amour patiemment cultivé depuis des générations s’était subitement transformé en une haine qui bouillonnait dans toutes les âmes. Les opinions s’échauffaient, s’exaspéraient, s’entrechoquaient et l’esprit de vengeance se réveilla en cette population assommée et exacerbée par tant d’années de terrorisme sordide. Sous les rougeurs tragiques du crépuscule, la cohue houleuse prit l’apparence d’une horde de sauvages mutinés. L’unique pensée qui talonnait tous ces gens, la pensée soudaine qui avait traversé tous les esprits comme un éclair, c’était d’empoigner le premier arabe venu pour frapper. Sur la grande clarté fauve du soleil déclinant, une sorte de fatalité pesait sur toutes les consciences… et le tragique enchaînement de la violence se perpétua aux confins de la folie. Si l’on ne pouvait excuser tout à fait ce talion, on pouvait, tout au moins, essayer de le comprendre. Voilà sept années que l’on massacrait en Algérie, que l’on mutilait, que l’on violait et que l’on pillait. Aujourd’hui, les Européens répliquaient et versaient dans le désespoir. Voilà les causes des « ratonnades » et de la vengeance ! Voilà la raison de la création de l’OAS ! Si la France avait été vraiment à la hauteur de sa justice, elle n’aurait pas permis qu’un condamné à mort comme M. Chadli, avec cent-treize attentats sur la conscience, soit jugé le mardi et « évadé » le vendredi… Comment dans ce cas ne pas faire justice soit-même ? Comme de coutume, la presse métropolitaine –hormis le journal « L’Aurore »- se garda bien d’évoquer dans le détail l’assassinat de la famille Ortéga. A l’inverse, elle se déchaîna contre cette « nouvelle ratonnade » en indiquant que « les tueurs nazis de l’OAS se livraient au racket et au massacre sur les Musulmans et les « patriotes » gaullistes ! » Ainsi ces vertueux journalistes au « coeur sur la main » oubliaient la terreur qu’imposait quotidiennement le FLN ; ils ne se souvenaient plus des charniers de Melouza et d’El-Halia, des soldats français torturés et dépecés encore vivants dans les gorges de Palestro, des bombes du stade d’El-Biar et du casino de la Corniche ; ils ne prêtaient aucune attention aux grenades qui explosaient chaque jour dans les écoles, les cafés, les arrêts d’autobus et qui déchiquetaient les jeunes enfants ; ils feignaient d’ignorer les enlèvements, les égorgements et les viols qui se multipliaient, mais ils stigmatisaient le « drame des ratonnades » qu’un journaliste, Yves Lavoquer, avait, sans gêne aucune, comparé aux « pogroms de la Russie tsariste et aux massacres nazis ». « Ce n’est pas de tuer l’innocent comme innocent qui perd la société, c’est de le tuer comme coupable » écrivait Chateaubriand. Ces atrocités ne révoltaient donc pas les consciences contre les criminels… mais contre les victimes. Ces milliers d’innocents versés dans la mort servaient à apitoyer le monde sur le sort des bourreaux. Le réflexe n’était pas l’indignation devant la sauvagerie du crime… mais la compassion envers les assassins à qui l’on trouvait toujours une excuse à « leur acte désespéré ». Et si les survivants excédés ou terrorisés prenaient les armes pour sauver leur vie, dans un geste de défense aussi vieux que les âges, ils soulevaient contre eux l’unanimité des censeurs. Un poète persan a écrit : « Si la douleur, comme le feu, produisait de la fumée, le monde entier en serait obscurci ». Il y avait tellement de fumée en Algérie, en ce terrible mois de mars 1962, qu’on ne voyait plus clair et qu’on étouffait… José CASTANO

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 09:50

~Cohn-Bendit veut punir les Helvètes, et pire, les humilier. L’intervention de Daniel Cohn-Bendit au Parlement européen (voir ci-dessous) où, la bave aux lèvres, il réclame ni plus ni moins le blocus économique de la Suisse, l’interdiction de ses exportations, et donc son asphyxie, en sanction de son vote sur l’immigration, devra être conservée dans les archives pour démontrer, mieux que de longs discours, la réalité de l’Union européenne, mais aussi la vraie nature de l’ancien anarchiste de Nanterre. En 2009, il insultait déjà les Helvètes après leur votation sur les minarets, et les appelait à revoter jusqu’à ce que mort s’ensuive. Il encourageait même les émirats à retirer leur argent des coffres-forts suisses. Cohn-Bendit veut punir les Helvètes, et pire, les humilier. Il fantasme à l’idée d’imaginer Oskar Freysinger, à genoux, dans un pays ruiné, venir présenter ses excuses à Bruxelles, jurer qu’ils ne recommenceront plus, et d’ailleurs qu’ils ne feront plus voter le peuple, c’est beaucoup plus sûr. Lui qui milite pour criminaliser la fessée dans toute l’Europe, au nom de l’humiliation supposée de nos têtes blondes, rêve de gifler publiquement les représentants de ce petit pays qui ose ne pas voter comme il faut, et résister aux diktats de l’Union européenne. Cohn-Bendit a passé sa vie à vomir le communisme, considéré comme le mal liberticide absolu. Il a défendu toutes les prétendues libertés : - celle de l’adulte d’initier l’enfant aux jeux amoureux ; - celle de l’immigré de venir s’installer librement là où il le veut ; - celle des nouveaux venus d’imposer leur communautarisme ; - celle de l’enfant roi face aux parents forcément oppresseurs ; - celle de l’élève face à l’enseignant forcément dictateur ; - celle de la concurrence économique libre et non faussée, donc la liberté du renard dans le poulailler. Mais il n’y a qu’une liberté dont il ne veut pas entendre parler : celle des peuples souverains. Cela s’appelle pourtant la démocratie. En 1968, il glapissait « Élections, piège à cons », parce qu’il savait qu’il perdrait si on faisait voter les Français, ce que de Gaulle a fait. Aujourd’hui, il calomnie les votations suisses, tout simplement parce que les électeurs le renvoient dans ses buts à chaque consultation. Comme toute cette génération de petits bourgeois de Mai 68, il a un profond mépris pour le peuple et les travailleurs, qui ont préféré des augmentations de salaire à ses délires révolutionnaires. Finalement, il ressemble de plus en plus, sur la fin de sa vie, à ces dictateurs ignobles, vieillards hideux qui, vaincus, éructent leur haine et leur mépris pour les populations. En 1968, répondant à Georges Marchais qui l’avait qualifié d’anarchiste allemand (sans évoquer ses origines juives), les étudiants, s’identifiant à celui qu’on appelait Dany le Rouge, avaient répondu : « Nous sommes tous des Juifs allemands. » Sachant que c’est la Suisse alémanique qui a fait pencher la balance dans la votation qui rend Cohn-Bendit aussi hystérique, nous scanderons dans les rues de Paris, le 9 mars prochain, lors de notre manifestation pour demander un référendum sur l’immigration : « Nous sommes tous des Suisses allemands. »

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 09:38

~ Que risque réellement un djihadiste en France ? Rien. Par Jeanlg75

Que risque réellement un djihadiste en France ? Rien, compte tenu de plusieurs paramètres qui entrent en ligne de compte : - 30 % de chance que les juges soient du syndicat du "Mur des cons", - périodes électorales, - Ce musulman représente 80 % de l'électorat des Socialistes, - il faut éviter que les musulmans ne soient trop visibles, pour ne pas donner raison aux "Patriotes Français", par des possibilités d'émeutes communautaires Musulmanes dans toutes les villes de France, en représailles d'un jugement nécessairement ressentie comme islamophobe, - éviter, à tout prix, que le jugement porte sur l'islam donc, souligner le seul fait de détention et utilisation d'armes à feu sans autorisation, mais sans contexte d'un conditionnement sectaire islamique, - Minimiser sa responsabilité par une "expertise socialo-psychologique (voir en fin de post), - mettre en évidence une corresponsabilité sur les jeux vidéo, - mettre l'accent sur la responsabilité, pleine et entière, des discours de haine, de xénophobie et d'islamophobie du Front National, de Résistance Républicaine, de Riposte Laïque, du Bloc Identitaire, pour aller plus vite, disons de tous les "Français qui aiment la France" et qui disent que l'islam est incompatible avec la République, avec nos Us et Coutumes et tout simplement nos libertés, - tenir compte de son jeune âge et des conséquences d'une éducation nécessairement et obligatoirement difficile, - et surtout, la priorité des priorités ne pas contredire le Ministre de l'Intérieur, M. Valls, et la patronne, Mme Taubira : il n'y a pas de djihadiste en France, pour le premier, et pas de prison pour éviter la récidive, pour la deuxième. Un djihadiste risque moins qu'un bijoutier qui, pour sauver sa vie et ses biens, a tiré sur des "chances pour la France" lors d'un braquage. D'ailleurs, la presse gauchiste Française n'utilise-t-elle pas l'expression, "un braquage qui s'est mal passé". Ce qui inconsciemment veut dire, que quand le braqueur se tire avec la caisse, c'est un "braquage qui s'est bien passé". Pour qui ? Pour le braqueur... Là aussi c'est la même expertise socialo-psychologique qui va s'appliquer pour Romain Letellier : un "djihad qui s'est mal passé" car il s'est fait piquer. Ce qui, à contrario, se traduit par "qu'un djihad peut bien se passer". La seule question qui demeure est, comment définir un "bon djihad", aux nombres de morts ou à la couverture médiatique complaisante à souhait ? En toutes probabilités, il va prendre 3 mois fermes et deux ans avec sursis avec mise à l'épreuve. C'est à dire pas de prison ! Pourtant le mot djihad a une correspondance dans la langue Française : préparer un voyage, une logistique, des armes en vue de tuer des gens se nomme 'tentative de meurtre avec prémiditation ! Letellier devrait donc être jugé non pas sur une simple "apologie" ou "provocation" au terrorisme, mais bien pour complicité de tentative de meurtre avec prémiditation : un site Inernet est l'un des moyens qui permet d'atteindre l'objectif final du djihadiste, connu de ses complices : le meurtre ! Romain Letellier est complice, au même titre que celui qui lui offre une logistique ou des explosifs et des armes. Jeanlg75

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 17:17

~ Mardi 25 février 2014 Centrafrique

: je vote pour la prolongation de l’opération Sangaris Aujourd’hui, le Parlement est appelé à voter sur la prolongation de l’opération Sangaris. J’ai décidé de me prononcer en sa faveur car le retrait de nos forces armées plongerait la Centrafrique dans le chaos le plus total. C’est un vote responsable, un vote d’intérêt national pour ne pas désavouer nos militaires en action, mais c’est un vote lucide car je mesure les risques et les obstacles que doivent surmonter nos armées. Le gouvernement n’a pas évalué avec justesse les difficultés de cette intervention. Le président de la République n’aurait pas dû promettre une action de courte durée, ni surestimer les capacités de soutien de nos partenaires européens. Ces critiques justifiées ne peuvent cependant occulter la responsabilité de l’UMP. Responsabilité vis-à-vis de nos forces armées qui ont besoin du soutien de la nation; responsabilité vis-à-vis de nos partenaires africains et internationaux qui respectent l’influence de la France dans cette région du monde; responsabilité vis-à-vis du peuple centrafricain car si la France doute et se retire, alors le cycle de la violence s’amplifiera de façon dramatique et incontrôlable.

Assemblée Nationale : Le vote de François  Fillon
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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 15:55

~Jean-François Touzé

L'Assemblée nationale se prononce ce mardi sur l'engagement de nos troupes en Centre Afrique. La politique de l'entre deux est la pire des politiques. SI nous devons rester en Centre Afrique- et tout indique que nous le devons car tel est notre intérêt national - il faut donner à notre armée les moyens de mener à bien sa mission. Cela suppose qu'on en finisse avec les demi-mesures et les renforts de quelques centaines d'hommes. C'est par un effet de sidération réelle que sera gagnée la partie. C'est don plusieurs milliers d'hommes supplémentaires qu'il nous faut mettre en opération, avec les soutiens aériens et terrestres nécessaires, mais avec un objectif précis et dans une durée fixée à l'avance jusqu'à ce que les forces africaine ou onusiennes prennent le relais. Faute de quoi, mieux vaudrait que nos soldats rentrent à la maison. JFT

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 15:34
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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 07:33

~~Le Bloc Identitaire présente sa "Feuille de route pour la politique d'identité et de remigration"

. Mardi dernier, le gouvernement socialiste présentait sa « feuille de route pour la politique d’égalité républicaine et d’intégration ». Détaillée en 26 points, cette note est un véritable concentré de haine de la France et de son identité. Elle révèle le fond de la pensée de nos actuels gouvernants : les Français de souche européenne doivent s’adapter aux masses immigrées, pour mieux disparaître en silence. Parti de la résistance et de la persistance française et européenne, le Bloc Identitaire a décidé de répondre à cette énième provocation en proposant dès aujourd’hui sa « Feuille de route pour la politique d’identité et de remigration ». Cette feuille de route mériterait d'être complétée par une seconde, celle de la promotion d'une redécouverte de notre identité à travers un certain nombre de mesures de réenracinement (allant de la culture à l'économie, en passant par l'éducation ou les institutions) de nos compatriotes. Nous esquissons cela à travers notre dernière proposition, la création d'un grand Ministère de l'identité et de l'enracinement. En 26 mesures également, le Bloc Identitaire entend montrer qu’en politique il n’y a pas de fatalité, mais simplement de la volonté. Répondant ainsi aux mondialistes – de gauche comme de droite – mais aussi à ceux qui, se réclamant pourtant patriotes, ont baissé la garde face au multiculturalisme, par fatalisme ou confusion idéologique. Loin des fantasmes de « réconciliation » ou d'assimilation massive, nous pensons que le seul moyen d'éviter le chaos qui découle fatalement des sociétés multiculturelles (et donc multiconflictuelles) c'est aujourd'hui d'envisager, de manière pacifique et concertée, la remigration. C'est-à-dire le retour dans leurs pays d'origine d'une majorité des immigrés extra-européens présents sur notre territoire. Si ces mesures peuvent sembler aujourd'hui « impossibles » ou « radicales » à certains, nous sommes persuadés que les temps à venir se chargeront de les rendre à la fois possibles et nécessaires. Arrêt de l’immigration, condamnation de ceux qui l’encouragent, arrêt de l’islamisation, remigration concertée avec les pays d’origine, etc. Oui, à travers ces 26 mesures le Bloc Identitaire revendique simplement pour les Français le droit fondamental dont disposent tous les autres peuples du monde : celui de vivre en paix, chez eux, selon leur identité, avec ceux qui leur ressemblent.

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11 février 2014 2 11 /02 /février /2014 07:06

~ardi 11 février 2014 Seule l'immigration musulmane pose problème,

La France a toujours été un pays d'accueil pour tous les frontaliers, que ce soit du Nord, de l'Est, du Sud (Espagne, Portugal) et de l'Ouest (Irlande, Ecosse et Angletterre). Chaque immigration fut porteuse d'enrichissement, à plus ou moins long terme. Chaque génération a pu s'adapter, en serrant les dents pour certaines populations, en supportant les "ritals", "espingouin", "Yougo", "portos"... Mais tous ont saisi leur chance par la méritocratie. Aujourd'hui, ces ex-immigrants ont gravé, avec leur talent, les traces de leur passage et nous a fait découvrir leurs histoires, leurs pays. Pourquoi cette immigration a-t-elle réussi ? Elle était "catholique" ? Elle était "blanche" ? Le point commun même avec l'immigration Asiatique c'est qu'aucune, n'était "aliénée" par une idéologie mortifère et barbare. Tous avaient conservé leur libre arbitre. Tous pouvaient s'adapter et répondre à leurs aspirations et leurs besoins. Tous ont su apprécier ce que la France a pu leur offrir (école, accès aux soins, aux métiers diplômant, la mixité culturelle et matrimoniale). En retour, ils nous ont offert leur différence, non pas en tant que "communauté" mais par la différence que chaque individu peut offrir avec ses spécificités qui rend l'Homme unique. L'immigration est nécessaire à tous les pays mais à lui d'en contrôler la qualité et la quantité afin de mieux accueillir ces hommes et ces femmes et permettre, à ces derniers, de connaître nos us et coutumes. Plus l'immigrant sait et comprend les règles, les lois et les us et coutumes, plus il s'enrichit intellectuellement et mieux il pourra exprimer sa propre culture, sa différence et en faire une composante hétérogène à transmettre à ses enfants. L'immigration venant des Berbères du Maghreb, de l'Afrique Subsaharienne, Arabe et Afrique Noir, a pourtant des spécificités culturelles, des différences, alors qu'est-ce qui ne passe pas auprès des autochtones Français ? Pourquoi, les Autochtones Français, dont les immigrants d'antan naturalisés, vivent-ils aussi cette immigration comme une invasion, une conquête de territoire et en résumé comme une guerre d'occupation culturelle et Cultuelle ? Comment ces Français sont-ils passés du statut d'accueillant à méfiant puis Résistant ? C'est que cette immigration n'a justement aucune richesse culturelle. Les autorités politiques Française, depuis plus de trente ans, acceptent de faire venir, non pas des hommes et des femmes qui comprennent que le marché de l'immigration c'est du donnant-donnant : Tu offres ton talent-On t'offre des possibilités de développement personnel. Or 90 % de ces hommes et ces femmes ne savent ni lire ni écrire leur propre langue et encore moins la langue Française. Comment ces immigrants peuvent-ils avoir la moindre chance d'exprimer autre chose que "l'islam est tout, en dehors de l'islam, tout est perversion et doit-être fui et détruit !" Avant cette immigration musulmane, l'Autochtone Français pouvait apprécier, échanger et partager avec chaque homme et femme grâce à un tronc commun : la liberté du comportement. Or cette immigration musulmane n'offre qu'un comportement monolithique qui ne repose que sur le mysticisme d'un "criminel" selon nos codes actuels, l'islam. Chaque immigré musulman se comporte de la même manière : musulmane... Chaque immigré réclame le même droit : vivre en musulman. Les hommes et les femmes éduquent leurs enfants de la même manière : musulmane Les hommes et les femmes revendiquent leur mode de vie : islamique Les hommes et les femmes démontrent leur attachement à l'islam : circoncision de chaque enfant (sacrifice partiel humain) Les hommes et les femmes démontrent leur indicible volonté commune d'être "stigmatisé" musulman : prénom islamique donné à leurs enfants, vêtement spécifique aux femmes, aux hommes, nourriture, gestuelles et rites prosélytiques contraire aux principes des lois Françaises, refus de la moindre miette culturelle du pays d'accueil. Chacun des hommes et femmes, présents en France, qui ne jurent que par l'islam, ne désire qu'une chose : créer, dans notre pays, des us et coutumes qui se résument à... l'islam ! Voilà comment les Français sont devenus des résistants à cette invasion. Mais cette résistance, pour être efficace contre cette aliénation mentale islamique, doit opposer une Résistance Républicaine. La Résistance est Républicaine et son ciment en est la Laïcité !

Jeanlg75

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 11:12

La France s'islamisme : Dans certaines écoles en France, il est interdit de parler le français en classe.

http://youtu.be/ZDzFedDXAwA

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