Nos compatriotes avaient depuis longtemps l’air d’une bande de sales gosses se chamaillant pour des futilités dans une cour de récréation, ne voulant pas voir qu’ils avaient pourtant une belle école et la chance d’être là. Au lieu d’organiser des jeux qui les rassemblaient dans une saine émulation, ils formaient de petites bandes, le plus souvent pitoyables ou grotesques, mais qui finissaient par établir une sorte de dictature des minorités. Ils ne savaient plus dire « nous ». En même temps, une autre bande, grandissante, s’installait dans l’école, en modifiant les règles, les dispositions, l’aspect et la nature même.
Les Français avaient oublié leur pays, leur État, leur nation, leur patrie, leur civilisation. Ils se prétendaient volontiers « citoyens du monde », sans voir que le monde est bien trop grand pour un individu, et aussi bien trop concret pour des « idéologies », celles-là mêmes qui se réunissaient dans un magma nommé « mondialisation ».
Ils se gargarisaient de formules « politiquement correctes » et de consumérisme sans limites, sans voir que la mondialisation et l’une de ses structures, l’Union européenne, faisait d’eux les robots d’une société idéalisée et terrifiante décrite dans plusieurs romans d’anticipation.
Les Français, dans leur majorité, ne voyaient pas que la mondialisation se nourrissait d’un autre élément, l’islamisation, que ces deux fléaux que la nature n’aurait pas osé imaginer étaient à la fois rivaux et complices.
Quoi de mieux qu’une société où la politique et la religion (ou supposée telle) sont une seule et unique règle régissant la vie privée, familiale et publique ? Surtout quand ce système qui a pour nom « soumission » (islam en arabe) et dont le support idéologique est un livre à apprendre par cœur (coran signifie « récitation »).
Quand on a affaire à des gens soumis qui ne pensent à rien d’autre qu’à appliquer strictement ce qui est prescrit par un dieu imaginaire, on exerce sur eux un pouvoir sans limites et on peut aussi leur faire consommer encore plus qu’à des gens instruits et conscients usant de leur libre arbitre.
Mais voici l’heure.
Puisque l’on a refusé les institutions il n’y a plus d’instituteur pour annoncer la fin de la récréation.
L’instituteur, l’institutrice de mon enfance, eux qui étaient titulaires du savoir et de l’autorité, qui nous apprenaient à discerner le Bien et le Mal, ont été remplacés par des staliniens désœuvrés qui n’apprennent même plus l’Histoire à nos enfants. Parce qu’il ne faut surtout pas que ceux-ci sachent d’où ils viennent, de crainte qu’ils ne voient aussi où ils vont : dans le néant d’une société sans repères, sans racines et sans valeurs, comme si tout était à vendre, même les consciences et les sentiments.
Certains tentent-ils de faire face ? Ils sont assaillis par les associations de parents d’élèves, qui prétendent savoir mieux que les professeurs ce qui doit se passer dans l’école. On voit le résultat : des bacheliers incapables de maitriser notre langue maternelle et nationale, l’un des piliers de notre République, l’élément obligé des relations et des apprentissages, le minimum nécessaire pour bien se comprendre et se comprendre bien.
On se croirait dans le film « Le retour de Don Camillo », où l’on voit des enfants s’approprier les inimitiés et les querelles des adultes… Où l’on voit qu’à force de vouloir que ce soit son clocher qui indique l’heure avant celui des autres, on ne sait même plus l’heure qu’il est… La voilà, la bataille des idéologies où l’on sabote les affaires des autres même dans le malheur.
Mais voici l’heure
. Et c’est l’islam qui vient de siffler la fin de la récré.
Je suis triste. Je le suis pour mes enfants et pour tous les jeunes d’aujourd’hui qui n’ont rien fait pour mériter cela.
Je suis triste pour nos morts glorieux, les Poilus, les Résistants, pour tous ceux qui ont sacrifié leur vie pour que la France vive libre.
Je suis triste pour les trente-cinq mille soldats de notre Légion étrangère qui sont morts sur les champs de bataille.
Je pense aux millions d’immigrés qui sont venus en France durant des siècles pour offrir leurs efforts, leur travail et leur intégration tant réussie qu’on n’employait même pas ce mot, en reconnaissance pour la liberté et la paix sociale.
Je suis triste pour ceux qui viennent encore chez nous pour y trouver cette même liberté et cette même paix sociale parce qu’ils sont persécutés dans leurs pays d’origine, notamment les chrétiens d’Orient et toutes les victimes des dictatures d’aujourd’hui : résidus du communisme, régimes autoritaires mondialisés et États islamiques intolérants.
Je suis triste pour nos amis juifs qui sont de plus en plus nombreux à faire leur Aliya (retour à la Terre Promise) parce qu’ils ne sont plus en sécurité chez nous, avec nous. Non pas à cause d’une supposée extrême-droite, mais à cause de l’anti-judaïsme des bobos-gauchos alliés de l’islam dont le texte fondateur prescrit explicitement qu’il faut faire la guerre aux Juifs.
C’est écrit. Aujourd’hui beaucoup de jeunes Français partent pour d’autres pays plus prometteurs et nous ouvrons nos portes à des populations profiteuses, vindicatives et hostiles alors qu’il n’y a déjà plus de travail et de logements pour satisfaire tous les besoins.
Comment en sommes-nous arrivés là ?
Nous avons depuis longtemps abandonné, renié ce qui nous a faits tels que nous sommes. Nous avons cru à des chimères et oublié le sens du devoir en croyant que nous n’avions que des droits. Nous avons confié notre destin à des dirigeants qui n’étaient plus patriotes en croyant à la mondialisation ou à une sorte de communisme amélioré.
Les systèmes qui ont prétendu régenter le monde entier ont causé les pires catastrophes et les pires génocides : le communisme et le nazisme. Nous savons ce à quoi ils ont mené.
Aujourd’hui deux autres ont cette prétention de domination planétaire : la mondialisation et l’islam. Nous avons traité les patriotes de ringards, xénophobes, cocardiers, racistes et même fascistes. Nous avons laissé insulter notre drapeau, publier un livre intitulé « Nique la France », nous avons laissé siffler notre Hymne national et permis que des joueurs d’équipe de France refusent de le chanter.
Nous avons laissé les bobos-gauchos de l’Éducation nationale faire croire à nos enfants que la France est un pays multiculturel.
Nous avons laissé notre Justice libérer des voyous, des violeurs, toutes sortes de récidivistes dangereux avec les conséquences que l’on sait, et même des terroristes, mais aussi condamner les honnêtes gens en état de légitime défense.
Nous avons désarmé notre police tandis que les malfaiteurs se sur-armaient et nous lui avons enlevé sa présomption de légitime défense.
Nous l’avons laissée insulter et nous avons permis que son autorité soit remise en cause. Nous avons transformé nos prisons en lieux de villégiature et nous avons accordé aux détenus des droits que leurs méfaits leur avaient fait perdre.
Nous avons supprimé la peine de mort et en avons laissé le monopole aux assassins et aux terroristes. Pour avoir le pétrole des pays arabes, nous avons même vendu notre âme au diable de l’islam.
Nous avons laissé notre patronat accélérer la venue de populations étrangères et le plus souvent maghrébines pour avoir une main d’œuvre soumise à bon marché, et nous l’avons aussi laissé délocaliser nos emplois tout en important de plus en plus de produits fabriqués ailleurs, au nom du « progrès » et de la mondialisation.
Nous avons permis le regroupement familial de travailleurs dont la précarité de l’emploi justifiait qu’ils devaient retourner dans leur pays d’origine en fin de contrat.
Nous avons octroyé à des étrangers des droits plus importants qu’à nous autres Français. Paradoxe inouï : nos administrations sont tatillonnes envers nous, mais laxistes avec les étrangers, fussent-ils en situation irrégulière et donc contrevenant à la loi.
Nous avons laissé l’islam s’implanter dans notre pays de tradition chrétienne, alors même que le livre fondateur de l’islam prescrit aux musulmans d’établir un califat dans le monde entier.
Nous avons fait la guerre aux sectes mais oublié qu’aucune d’entre-elles n’avait des prescriptions aussi mortelles que certaines contenues dans le coran, par exemple celle-ci : « Quand vous rencontrerez des infidèles, tuez-les jusqu’à en faire grand carnage » -le coran, chapitre (sourate) 47, verset 4.
Nous avons accepté d’être envahis par des étrangers dont certains arrivent avec armes et uniformes et nous leur construisons des bastions à nos frais.
Nous avons oublié l’Histoire, le terrible sort des Pieds-Noirs et des Harkis.
C’est pourtant à cause de l’islam que toute la moitié nord de l’Afrique est déstabilisée, que nous devons accepter d’être traités comme des malfaiteurs avant d’embarquer dans un avion, que nous avons supprimé les consignes automatiques et que nos poubelles publiques doivent être transparentes.
Nous avons exprimé notre repentance pour la colonisation de l’Afrique du Nord, en oubliant que l’intervention française dans cette région avait été motivée par les incessantes attaques des pirates barbaresques qui duraient depuis des siècles tout autour de la Méditerranée, pillant, tuant, détruisant et emmenant en esclavage les femmes et les enfants.
Nous avons oublié ces terribles rançons payées par nos ancêtres à la barbarie.
Nous avons renvoyé en Algérie l’un des terroristes des Jeux Olympiques de Münich au lieu de le remettre à nos alliés allemands qui en demandaient l’extradition.
Nous avons été l’un des premiers pays à accepter sur son sol la représentation « diplomatique » d’une entité terroriste nommée « Organisation de Libération de la Palestine ».
Nous avons abandonné le jeune et petit État d’Israël entouré d’ennemis mortels, alors que nous aurions dû rester son allié inconditionnel.
Qui se souvient que la plupart des pays arabo-musulmans d’aujourd’hui n’étaient ni musulmans ni arabes avant l’islam conquérant ? Et qu’en est-il des populations colonisées par l’islam ? Que deviennent les Kabyles, les Berbères, les Kurdes, les Coptes, les Assyriens, les Chaldéens et tant d’autres ?
Nous avons renié notre identité au nom des droits de l’homme en oubliant qu’à force de défendre le droit des autres, l’on finit par perdre le sien. Nous avons ainsi laissé s’échapper notre droit de peuple souverain à l’identité nationale, à notre indépendance, à notre culture, à nos traditions. Nous avons oublié que ce qui fait la richesse d’une nation, ce sont ses ressources naturelles et le travail de son peuple.
Que cette démarche spontanée dans l’intelligence, l’effort et la cohésion apporte naturellement à ce peuple la légitime propriété de son sol. Que sa prospérité ne se trouve que dans sa souveraineté. Que ce ne sont pas les artifices de la finance apatride ou les théories intellectuelles qui la lui donnent.
Nous avons oublié que ce qui fait l’identité collective des individus, c’est leur participation au partage et à l’héritage d’une civilisation. Que cette évolution permanente dans la conscience, l’harmonie et la fidélité apporte à ces individus la compétence territoriale de leur société. Que ce ne sont pas les artifices de la politique ou de dérisoires papiers administratifs qui la leur donnent.
Nous avons laissé s’exprimer et se développer des associations d’idiots utiles subventionnées par les collectivités et nous leur avons permis de se porter partie civile auprès des tribunaux.
Nous les avons laissées imposer le « politiquement correct » et la dictature des minorités au détriment de la Res Publica, le bien commun.
Nous les laissons à présent distiller leur venin jusque dans nos écoles. Nous avons donné aux étrangers le droit du sol opportuniste et automatique, à la place du droit du sang légitime ou de celui de l’assimilation motivée et réussie. Quels que soient leurs agissements, nous les avons considérés comme des « chances pour la France ».
Nous avons abandonné nos prénoms traditionnels au bénéfice d’une sorte de mondialisation phonétique sans culture et à celui de l’islam conquérant.
Nous pouvons ainsi voir aujourd’hui l’état-civil enregistrer un prénom signifiant « Glaive de l’islam » (Saïf al islam en arabe). Au nom de la tolérance, mais en fait par lâcheté, nous avons laissé un nombre grandissant de cités et de quartiers devenir des zones que les journaleux appellent « de non-droit », mais qui sont en fait des lieux de droit islamique perdus par notre République.
Nous avons laissé des blasphémateurs sacrilèges s’en prendre aux édifices, aux œuvres et aux lieux saints de la Chrétienté en prétendant qu’il s’agissait de liberté d’expression, mais notre Justice trouve recevable toute plainte de l’islam.
Nous avons laissé dénigrer nos valeurs de civilisation inspirée du christianisme, mais nous avons encouragé l’islam à s’installer chez nous. Au nom d’une laïcité dévoyée nous avons laissé nos politiciens et notre Justice remettre en cause des consensus traditionnels séculaires. Nous supprimons les crèches et les arbres de Noël, mais nous construisons deux mosquées par semaine.
Nous avons dénigré nos militaires en oubliant que lorsqu’ils s’engagent, ils signent un chèque en blanc avec la France, avec nous, dont le prix peut s’élever jusqu’à leur propre vie. Nous avons supprimé le service militaire, dénouant ainsi l’un des liens essentiels entre la jeunesse et la nation, ne lui apprenant plus que les devoirs sont le prix du droit et que vivre ensemble exige des concessions et des efforts.
Nous avons fait croire à nos enfants que l’on peut vivre dans un monde de bisous à nounours.
Nous avons laissé la « gauche » et la « droite » nous diviser alors qu’elles ont poursuivi la même politique mondialiste et antipatriotique. Notre petit président qui « n’aime pas les riches » a appauvri la France qui vient de reculer au sixième rang mondial, avant peut-être de devenir un pays sous-développé, terreau fertile aux idéologies mortifères corrompant les idéaux de la jeunesse et menant au terrorisme, alors même qu’il l’a aussi fragilisée en réduisant notre Défense nationale et nos forces de l’ordre.
Nous avons honte d’afficher notre drapeau, nos couleurs nationales, comme le font pourtant des millions d’Américains lucides et fiers de leur pays.
Nous avons oublié ce que disaient les grands hommes de notre Histoire à propos de l’islam, eux qui avaient la chance de ne pas être censurés par le « politiquement correct » stalinien imposé par les idiots utiles qui intentent des procès aux patriotes et à tous ceux qui disent des vérités dérangeantes.
Nous avons oublié que l’un des rares personnages historiques à faire l’éloge de l’islam a été le Reichführer SS Heinrich Himmler, l’ami de Mohammed Amin al-Husseini, le Grand Mufti de Jérusalem hébergé par le régime nazi qui lui permit de créer trois divisions de SS musulmans en Europe de l’Est.
Au prétexte angélique de tolérance, nous avons dialogué avec le Mal, comme nos politiciens des années trente avaient pactisé avec Hitler.
Ils ont reculé peu à peu et l’ont ainsi laissé maître de l’Europe. Quand il est revenu des « Accords de Münich », le Premier ministre britannique Neville Chamberlain a eu droit à cette célèbre phrase de son futur successeur Winston Churchill : « Entre la guerre et le déshonneur, vous avez choisi le déshonneur et vous aurez quand même la guerre ».
Nous avons fait de même et nous avons maintenant le même résultat. Voilà à quoi nous ont conduits quarante ans de renoncement national, de soixante-huitards attardés participant aux décisions de l’État. La main jaune du « Touche pas à mon pote » des idiots utiles est devenue la main verte tachée de sang.
L’islam vient donc de siffler la fin de la récré dans notre cour.
C’est la guerre, ici, chez nous et maintenant. Nos Anciens, durant l’Occupation, ont dû s’adapter à cela en se trouvant dans une situation qu’ils auraient sans doute préféré éviter. Ils ont résisté. Ils ont vaincu. Soyons dignes d’eux.
Aujourd’hui, c’est une guerre de la civilisation contre la barbarie. Contrairement à ce que prétend encore notre Premier ministre, c’est bien une guerre de civilisations. Encore faut-il bien identifier et nommer notre ennemi si nous voulons gagner cette guerre. Reprenons à notre compte la devise de notre 14ème Division d’Infanterie, qui est aussi le titre d’un livre du maréchal Jean de Lattre de Tassigny : « Ne pas subir ».
Daniel Pollett