Publicité islamique |
Profanations, mosquées, publicités islamiques : ça suffit !
Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662
Vu sur Fdesouche :
Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent
européen, le Dhimmi Show.
Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un
traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.
A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de
janvier.
Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :
« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »
Profanations, mosquées, publicités islamiques : ça suffit !
Publicité islamique |
Alors que toutes les composantes politiques du pays sont
mobilisées pour l'élection présidentielle de 2012, quelques 20 candidats lèvent déjà le doigt, il est permis de dresser un bilan objectif de l'état de la France. Disons-le clairement, d'entrée de
jeu : ce bilan est accablant.
Voilà un pays en faillite, dont toutes
les caisses sont vides avec une dette de 2 400 milliards d'€uros, si l'on ajoute aux 1 575 milliards de la dette classique qui s'alourdit d'heure en heure, les emprunts hors bilan avec les
provisions à constituer pour payer les retraites des fonctionnaires. C'est-à-dire que, pour rembourser la dette, chaque Français, du nourrisson au vieillard, devrait verser à l'impôt 40
000 euros !
Coût de cette dette : 45 milliards par an 55 milliards en
2013, la plus importante dépense de l'État après l'Éducation. On observe d'ailleurs une très forte augmentation de l'assurance contre les « risques de défaut » (cessation de paiement)
qui ont atteint le 19 décembre leur plus haut niveau historique. Il est difficile de trouver une aussi mauvaise gouvernance qui, en 30 ans, a accumulé une dette de cette ampleur. Le point de
départ, c’est 1981 avec Mitterrand le démagogue. Toujours par démagogie, ses successeurs ont changé le discours, mais pas la manière de gouverner. Le résultat est là : la France est
ruinée.
La fiscalité la plus lourde du monde remplit le tonneau des Danaïdes
avec un gaspillage énorme. Des milliards d'€uros ont été engloutis dans la politique de la ville (en d'autres termes les banlieues à immigrés), tout cela s'intégrant dans
« l'État-providence » qui redistribue chaque année plus de 500 milliards d'€uros pour la « protection sociale », c’est-à-dire que 50 % de la population française et
surtout étrangère est assistée, avec néanmoins 8 millions de personnes qui vivent au-dessous du seuil de pauvreté, 600 000 enfants qui ont faim, 100 000 SDF qui mendient dans les rues dont
beaucoup de tsiganes venus de Roumanie, un million de repas à la soupe populaire distribués en 2009 par les associations charitables subventionnées, les hôpitaux débordés avec les malades gisant
sur des brancards dans les couloirs comme dans les hôpitaux du Tiers-monde, des immigrés de plus en plus nombreux qui vivent comme des rats pour qui l'horizon est la Caisse d'allocations
familiales, dont la générosité leur permet de jouer au loto et de passer leur temps à boire de l'alcool…
J'exagère, dira-t-on. Eh bien, allez à Montreuil, la deuxième ville du
Mali au bord de la Seine, allez voir ce qui s'y passe ! Sans parler des indemnités versées aux 2,6 millions chômeurs officiels dont beaucoup d'immigrés mais, au total, c'est 4 millions
de sans-emploi qui vivent comme ils peuvent.
Quand on arrive au niveau de la classe moyenne, c’est l'écrasement
progressif de cette classe par l'impôt qui la ponctionne. Les impôts locaux ont doublé en 5 ans à Paris. Les dépenses obligatoires eau, gaz, électricité, assurances, charges immobilières sont
telles que les jeunes Français de bon niveau, avec une bonne situation, ne peuvent plus se loger à Paris. Ils sont condamnés à la petite couronne, puis à la grande, puis aux villes parfois
distantes de 100 km de la capitale. La moitié des salariés en France gagne moins de 1 600 euros par mois. 2 millions sont au Smic.
Dans ce contexte d'appauvrissement et d’immigration débridée on
continue à délivrer 2 millions de visas par an et à pratiquer le regroupement familial, que font ces immigrés non intégrés ? Ils volent et parfois ils tuent. 751 « quartiers
difficiles » sont officiellement répertoriés où vivent 4,4 millions de personnes. Là, un jeune sur trois est au chômage. En Seine St-Denis, les hold-up et braquages sont quasiment
quotidiens.
4 700 000 Français ont été victimes de vols ou de tentatives de vol en
2009. 2 723 vols violents ont été commis dans les transports parisiens au cours du seul mois d’octobre. Les armes de guerre prolifèrent. La gendarmerie doit prévoir d'agrandir son parc de
blindés. 75 000 femmes sont violées chaque année en France. 200 par jour ! Tous les deux jours une femme est tuée dans des violences conjugales comme en terre d'islam ou au Mexique. La France est
le seul pays dit civilisé où un « gang des barbares », dirigé par un immigré noir, africain, musulman, a torturé à mort pendant 8 jours un jeune Français parce qu'il était français,
blanc et juif. Et, pour renforcer nos craintes, une justice syndiquée singulièrement indulgente pour les criminels et autres délinquants.
En face de cette situation, que voit-on ? La démocrassouille et la
politicaillerie. Sarközy contre Villepin, Copé contre Fillon, Ségolène contre Martine, Mélenchon contre tout le monde, Marine Le Pen contre Bruno Gollnisch, un théâtre de guignols où s’ajoutent
en bonne place les centristes du centre gauche, de l'épicentre, du centre droit. Quant aux Verts de toutes nuances, socialo-utopistes, souvent plus rouges que verts, ils ne s’entendent pas. Tout
ce petit monde cherchant à devenir parlementaire très confortablement indemnisé.
La France compte 577 députés et 331
sénateurs, près de 2 fois plus de parlementaires que l'Allemagne et
environ 7 fois plus que les États-Unis… Le
parlement coûte au contribuable 2,5 millions d'€uros par jour ! En tout, la France compte 618 384 élus. On notera aussi la création d'un nouveau parti de fait, le VDS, les virés diversifiés
de la Sarközie, dont la présidente semble être notre Rama Yade nationale, qui pourtant n'a pas trop à se plaindre puisqu’elle vient d’être nommée, dans l'espoir qu'elle se tienne tranquille, et
en raison de sa « culture exceptionnelle », ambassadeur auprès de l'Unesco avec résidence et chauffeur à Paris. C’est la république bananière !
Mme l'ambassadeur, 34 ans, d’origine africaine, incarnation de la
culture et de la civilisation françaises, nous expliquera sûrement ce que sera la France de demain avec 200 000 « jeunes » dont une majorité d'immigrés qui sortent chaque année de
l'école primaire sans savoir ni lire, ni écrire et 400 000 pseudo étudiants qui quittent sans aucun diplôme l'université devenue une fabrique de chômeurs et de plus en plus mal cotée à
l'étranger.
Ce ne sont pas ces jeunes-là qui vont diminuer demain le déficit
commercial de la France (ininterrompu depuis 1973), dont la productivité baisse d'année en année, les 35 heures de Strauss-Kahn et Martine Aubry ont fait leur oeuvre , si bien que la France,
désormais nation pilote des pays du « club med », est suspendue aux basques de l'Allemagne qui commence à en avoir assez de soutenir des pays à la gouvernance incompétente et corrompue
(voir la Françafrique) envahie par les flots d'immigrés afro-maghrébins et musulmans et dont la démarche fondamentale des gouvernements est de pratiquer la méthode
Coué.
LES 4 VERITES N°
773
7 janvier
2011
18 à 24 quai de la Marne
75164 Paris Cedex 19
Au fond, c’est comme au restaurant. Vous dînez, tout est délicieux, le service impeccable, mais voilà qu’à la faveur d’un courant d’air, un petit coin de rideau se soulève soudain sur la cuisine, vous coupant définitivement l’appétit. Un petit coin de rideau s’est soulevé sur le monde de l’édition ces derniers jours, exhibant ses cafards, ses poils dans la soupe et ses tâches de graillon.
La biographie de Patrick Poivre d’Arvor tout d‘abord. Pour commémorer le cinquantième anniversaire de la mort d’Ernest Hemingway, les éditions Arthaud, filiale de Flammarion, avaient chargé PPDA de pondre une biographie qui devait sortir le 19 janvier. Tout était prêt chez l’éditeur, 20 000 exemplaires imprimés, le Tout-Paris inondé d’un service de presse, le champagne au frais, le tiroir-caisse huilé. Las, début janvier, l’Express révèle, preuves à l’appui, que le livre n’est qu’un immense plagiat de la biographie de Peter Griffin, parue aux Etats-Unis en 1985 et traduite en France quatre ans plus tard. L’info fait un buzz, la mécanique s’enraye, le livre est enterré. Réaction de l’éditeur : « Le texte imprimé, qui a été diffusé par erreur à la presse en décembre, était une version de travail provisoire. » Une version de travail tirée à 20 000 exemplaires. Comme c’est mignon. On dirait un enfant pris la main dans le pot de confiture qui tenterait de faire croire à sa maman qu’il cherchait là son doudou.
Mais l’histoire devient un peu rigolote lorsque les éditions Arthaud se mettent à remercier l’Express de les avoir alertées sur ce petit dysfonctionnement (ça sent son sourire crispé), et s’excusent auprès de l’auteur d’avoir malencontreusement diffusé cette « version de travail ». Un éditeur s’excusant auprès d’un auteur plagiaire qui les plombe de 20 000 exemplaires et les fait passer pour des guignols ? Tiens, tiens.
La vérité, c’est que PPDA n’a probablement jamais plagié qui que ce soit… tout en se retrouvant dans l’impossibilité de se défendre. Car c’est évidemment un « nègre » qui a fait le boulot à sa place, un nègre embauché et payé par Arthaud. Je me plais à imaginer un auteur talentueux et fauché, payé dix euros le feuillet pour fournir la matrice d’un livre que le signataire n’aura qu’à relire et légèrement remanier, empochant gloire et argent. Il fait alors ce que je ferais, ce que l’on ferait tous ; il bâcle. Il prend une biographie épuisée, la recopie, change les adverbes de place, rend un travail de cochon et empoche son aumône. Qui le lui reprocherait ? Certainement pas PPDA. Ni les éditions Arthaud.
Bien sûr, il existait une autre solution pour éviter ce ridicule : signer un contrat avec quelqu’un de sérieux qui aurait profité de l’opportunité du cinquantenaire de la mort d’Hemingway pour effectuer un vrai travail bibliographique et mettre à jour les connaissances que l’on a sur l’écrivain américain. D’ailleurs, ce nègre anonyme, si on l’avait laissé signer, va savoir s’il n’aurait pas écrit un beau livre ? Je vous le concède, les éditions Arthaud n’en auraient pas vendu 20 000 exemplaires.
La deuxième histoire est un peu plus scabreuse. Elle concerne Michel Drucker. Celui-là, je l’avoue, m’a toujours un peu effrayé, vautré dans son canapé rouge avec ses airs mielleux et sa larme prête à couler. A se demander s’il n’a pas un oignon caché quelque part dont il se frotte discrètement les yeux. L’homme est une institution à lui tout seul, une sorte de girouette molle qui nous indiquerait les puissants du moment. Certains le surnomment « Sujet-verbe-compliments ». C’est l’allié du pouvoir quel que soit le pouvoir, l’ami sans faille des présidents, l’animateur de shows caritatifs toujours du bon côté du manche. Attention, Drucker est un homme indéboulonnable, le genre de type dont il est absolument impossible de se débarrasser. Demain, la France vire musulmane, il se laisse pousser la barbe. Marine Le Pen est présidente, il explique l’œil humide que ses convictions d’honnête homme l’empêcheront toujours d’inviter un responsable UMP sur son plateau télé. C’est le collaborateur éternel dans sa version épicerie fine. Ses convictions profondes sont nichés tout au fond de son porte-monnaie. Pour lui, la politique, c’est obtenir un permis de construire en zone non-constructible et ça s’arrête là. C’est le parasite dans toute sa splendeur, le coquin aux belles dents pour qui les institutions n’existent que dans l’unique but de le servir. La seule manière de se passer de ses services serait de lui filer un coup de pelle derrière la nuque, mais l’époque n’envisage guère ce genre de solution, que de surcroit, personnellement, je réprouve absolument.
Bref, ce sympathique bonhomme a signé voici quelques années un contrat avec les éditions Albin Michel dans le but de « faire » un livre d’entretiens avec Régis Debray. Le lecteur ayant un minimum de sens commun trouvera étrange et farfelue l’idée de faire interroger Debray par cet imbécile de Drucker. Erreur. L’idée est encore plus débile. C’est Debray qui devait interroger Drucker. Mais oui. Dix grandes questions que l’on imagine philosophiques auxquelles Drucker avait vraisemblablement des choses passionnantes à répondre. La preuve, c’est qu’il a tout filé à rédiger à sa maîtresse du moment, l’écrivain camerounais Calixthe Belaya, moyennant une coquette somme.
Mais ce merveilleux livre, qui aurait probablement hissé la pensée française à des niveaux jamais atteints, n’a malheureusement pas été imprimé et Calixthe Belaya a attaqué Drucker en procès, lui réclamant son dû. Un premier procès l’a déboutée en juin 2009 mais la cour d’appel vient d’obliger Drucker a lui verser 40 000 euros de dommages et intérêts, donnant du même coup à l’affaire une publicité dont l’animateur dominical se serait bien passée.
Vous me direz, où est le problème dans tout cela ? Il ne s’agit que de libre commerce entre adultes librement consentants. Le problème, c’est qu’il y a des tas de gens dans ce pays qui ont des choses à dire, de l’énergie à revendre, du talent à déployer, et qui sont à la porte des officines éditoriales derrière laquelle des épiciers qui se croient éditeurs sont occupés à des petites magouilles minables et démoralisatrices. Le problème, c’est que la corruption des mœurs a atteint le monde de l’édition qui ne pense plus qu’en terme de coups fumeux et de marketing, et se comporte en vendeurs de yaourt. Le problème, c’est qu’Hemingway vaut un peu mieux que ça, et Régis Debray également. Le problème enfin, c’est que nous, lecteurs, en avons plus qu’assez de ces ordures cyniques qui salopent tout en toute impunité.
Julien Jauffret
[cc] Novopress.info, 2010, Dépêches libres de copie et
diffusion sous réserve de mention de la source d’origine
[http://fr.novopress.info]
Par Sophie Benamon, publié le 25/01/2011 à 17:00
Contrairement aux apparences, les Français sont partout, même parmi les nommés aux Oscars 2011. Suivez le guide.
Hors-la-loi de Rachid Bouchareb, dans la catégorie Meilleur film étranger :Certes, le film concourt pour l'Algérie, mais c'est en raison du règlement des Oscars qui n'acceptent qu'un seul film par pays. Les productions à double capitaux en profitent donc pour envoyer leur film sous l'un ou l'autre des pavillons. Rachid Bouchareb, avec succès, avait déjà usé du stratagème pour Indigènes, et le voilà à nouveau dans le quinté final de l'Oscar du meilleur film en langue étrangère.
Le député UMP de Marseille, Guy Tessier, vient d’annoncer qu’il allait déposer à l’Assemblée nationale une proposition de loi visant à « réglementer l’usage des drapeaux étrangers dans les espaces publics », et pas seulement dans les mairies lors des mariages.
L’Agence France Presse qui répercute cette information souligne à la fin de sa dépêche que, dès décembre 2009, Jacques Bompard avait pris un arrêté municipal interdisant d’arborer en mairie d’Orange ou à proximité des drapeaux étrangers lors des cérémonies de mariages.
La Ligue du Sud se félicite de la proposition de Guy Tessier. Cependant, elle forme le voeu que cette proposition de loi ne reste pas lettre morte et ne se révèle pas un simple effet d’annonce à un an de la Présidentielle. Au demeurant, le problème des drapeaux étrangers exhibés lors de certains mariages n’est qu’un aspect symbolique du problème. Il est à noter que, récemment, deux communes, Roubaix et Mulhouse, ont pris la décision de ne plus marier le samedi pour éviter les blocages de routes et autres provocations. Cette décision ne règle en soi pas le problème, mais se contente de le déplacer à un autre jour. Surtout, elle pénalise les familles pour qui un mariage est une cérémonie privée et pas le moyen de manifester le rejet de la France et de ses lois.
Enfin, et pour conclure, la Ligue du Sud observe que l’exhibition de drapeaux étrangers n’est que la partie émergée du phénomène migratoire qui depuis l’élection de Nicolas Sarkozy a repris de plus belle. Un seul chiffre : en 2010, les seules entrées régulières sur notre territoire se monte à 200 000, nombre jamais atteint sous Jacques Chirac ou François Mitterrand ! 200 000 personnes en une seule année, soit l’équivalent des villes d’Avignon, d’Orange, de Carpentras, de Cavaillon, de Bollène et du Pontet additionnées !
Il est assez paradoxal d'entendre Fadela Amara s'inquiéter de la montée de l'islamisme en Tunisie en décrivant des éléments qui sont plus que présents, déjà, en France...
Pourquoi la dite dame s'inquiète-t-elle de "l'islamisation de la Tunisie" mais pas de celle de la France ? Pourquoi s'inquiète-t-elle de la remise en cause des valeurs laïques en Tunisie mais pas en France ? Pourquoi les burkas et les voiles qui se multiplient de façon exponentielle dans notre pays ne la dérangent-elles pas ? Pourquoi les discours tenus dans les mosquées françaises la laissent-elles indifférente ? Pourquoi la multiplication des barbus dans les rues françaises ne la dérange-t-elle pas ? Pourquoi les prières dans les rues et la multiplication des revendications communautaristes la laissent-elles indifférente ?
N'aimerait-elle pas la France ???
Motif : « provocation à la haine, à la discrimination ou à la violence envers une personne ou un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée… »
Retrouvez chaque semaine des articles de Fdesouche sous forme de tracts à diffuser!
Pensez aussi à vous inscrire pour recevoir vos tracts directement par e-mail !
Cette semaine…
L’ensemble des tracts de la semaine en un dossier compressé