Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog du chardon varois
  • : Actualité politique, locale régionale et nationale. Apportez vos idées, vos critiques, participez activement à votre devenir.
  • Contact

chardon.varois

 C69600-111.GIF             L'ecole de ma jeunesse.
             Je suis de la génération, de ceux qui ont fréquenté l'école publique  des garçons  pendant les années 45/55,  dans ma région de Provence, dans une ville garnie de palmiers . Pas  de cantine scolaire ou peut-être pas de moyen financier pour régler  celle-ci ?

. La rentrée l : le  matin 8h30 /11h 30,  l'après-midi 13h30 /16h30 (Le jeudi et le dimanche  campos...Bref, nous avions 6h de cours par jour entre-coupées de moments de récréation. Un seul chef, l'institueur et qu'il ne fallait surtout pas être présenté pour un motif de discorde. 
Les disputes, les bagarres les réglements de compte allaient bon train pendant les récréations et parfois dans les couloirs conduisant à la salle de cours. Lorsque les coups reçus étaient  tros durs à supporter, l'ont s'arrangeaient, pour se retouver à la sortie de l'école pour régler nos comptes. .Les instituteurs, professeurs, faisaient offices  de surveillants, lorsqu'ils nous épinglaient en train de nous battre, la sanction était immédiate : "Retenue pour les antagonistes"...C'est à dire au lieu de quitter l'école à la cloche de 16h30, il fallait rester 1 heure de plus avec obligation de faire les devoirs du soir.... Le bagne ?.....Non la simple mise en condition, pour pouvoir vivre plus tard en société. En plus, il fallait en arrivant au domicile justifier une rentrer tardive.
 Le seul  endroit ou nous n'osions pas nous chamailler ,  le jeudi,  au cathéchisme, où tous les enfants du quartier se retrouvaient.
 Dans notre école, il y avait des blancs et ceux  que nous appellions "les bicots" en très petite minorité...Enfants issus des familles musulmanes dont les pères avaient participé à la dernière guerre, comme soldats de l' Armée d'Afrique...Eux, nous appelaient les "Patos" français de souches.. .A aucun moment de  cette période, il n'y a trace de racisme, d'islamisme, d'antisémisme. Les enseignants n'étaient pas encore passés par la folie destructrice de 1968, ou il a été décidé "Mr COHN BENDIT" doit s'en souvenir, qu'il est interdit d'interdire...Nous voyons aujourd'hui le résultat...Personne ne contrôle plus rien, les seuls endroits où les établisssments scolaires semblent être encore à l'abri de la délinquence se sont les écoles privées, catholiques, juives et  musulmanes.    Le seul endroit ou la police n'a pas encore été appelée. Du moins à ma connaissance. , peut-être est-ce le résulat d'une sélectivité ou chaque communauté se replie sur elle même. Alors si c'est cela, adieu la France, telle que nos parents, grand parents, se sont battus pour nous laisser un héritage que nous ne savons pas conserver.
Inutile de rêver tout éveillé les fiers  et rudes Gaulois de Charles Martel,  ont  disparu ! 732 ne reviendra pas.
                                                                                               -0000-
Je suis de droite et le revendique : (09.10.2009)

    En FRANCE, l'opinion politique est très majoritairement à droite. C'est normal: ! Quel avenir peut  avoir le socialisme marxiste à notre époque. Il suffit de constater les dégâts commis dans les pays ou il a été en vigueur.

Un pourcentage important  (72%) de français  estiment que les syndicats doivent être financés uniquement par les cotisations de leurs adhérents, et non par des subventions des contribuables.....Normal non ?
Plus de 80% de Français considèrent que le niveau élevé des dépenses publiques n'est pas favorable à l'emploi...Une évidence!
Beaucoup restent favorables à la peine de mort pour les violeurs d'enfants récidivistes ou pour les terroristes.  La  liste  
n'est  exhaustive.
Une    écrasante majortié est hostile à l'adoption d'enfants mineurs par des couples homosexuels..Un enfant doit grandir avec des repères un homme pour père, une femme pour mère.
La liste pourrait être encore plus longue, en y ajoutant tous ce que les français, souhaitent et réclament.

     Pourant depuis 30 ans; notre pays a toujours été gouverné soit par la gauche, soit par des gouvernements soi-disant "de droite" mais ayant   mené pour l'essentiel, une politique de gauche! C'est ce que j'appelle la " fausse droite".

La raison de cette situation ? :

 Parce que  si la gauche est minoritaire dans l'opinion elle est ULTRA-MAJORITAIRE dans les médias. Envrron 80% des journalistes votent à gauche et même parfois à l'extrème gauche. Ils pensent à gauche et ils écrivent à gauche et vous savez bien que les politiciens sont extrêment sensible à l'opinion des médias.




                                                                                                                                          C.V

Emprunt ou pas Emprunt ?

               
Le Président de la République a  fixé l'emprunt de l' Etat à 35 millards d'Euros !..Folie , dirons certains, une France très endettée , au bord de la faillite qui emprunte à nouveau c'est suicidaire.

                 Si la France n'empruntait pas elle n'existerait plus au 1er octobre, géré comme il est notre pays n'a plus un sou pour payer ce qu'il doit payer pendant les trois derniers mois de l'année. Sans emprunt, les fonctionnaires de toutes catégories, les militaires, les magistrats etc. ne seraient plus payés. Les entreprises publiques toutes en déficit ne recevraient plus d'allocations. Il n'y aurait plus de train, plus de RER, plus de métro, plus de postes, plus d'indemnités pour les 3 millions de chômeurs, plus de sécurité sociale, plus de sécurité tout court, plus rien. Ce serait dans les quinze jours la guerre civile et le grand soir du pillage général qu'attendent les immigrés depuis tant d'années. Sommes nous donc  victimes d'une fatalité  inexorable ?
Eh bien pas du tout. En 1974, le budget était en équilibre. Ce fut la dernière année. La dette publique était inexistante impérativement proscrite par le Général de gaulle  (encore lui ;) qui rejetait l'idée d'être le Chef d'un Etat débiteur et mendiant. C'est dire qu'une saine gestion  est tout a fait possible à la condition que l'on utilise pas les deniers de l'Etat qui proviennent de l'impôt versé par les particuliers et les entreprises pour alimenter une démagogie électoraliste tous azimuts.

                                                    ------------------------------00000000000000000-----------------------------------------




 Le terrorisme.

DEVRONT-ILS INTERVENIR ENCORE UNE FOIS, MAIS EN METROPOLE CETTE FOIS ?







notre-dame depart



bouton sita




 

  

 


Recherche

TEXTE LIBRE

                          Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses idées,  et celui  de recherche, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations par quelque moyen que ce soit.
(Déclaration internationale des droits de l'homme par l' ONU, le 10 Décembre 1948)
               


                                   Le système démocratique français, s'il présente les apparences immaculées de l'équité, écarte volontairement une partie de son électorat par divers tripatouillages: Découpage savant des territoires, refus obstiné de la proportionnelle, alliances  et  mésalliances, etc. Le résultat ? La mouvance dite de droite nationale, qui a représenté jusqu"à un électeur sur cinq, et qu'on tient pour un ramassis de citoyens de seconde zone, est absente  des  instances démocratiques depuis vingt-cinq ans. Même si l'on est adversaire de ce camp, comment justifier un tel apartheid?
                                                                                                            Grégoire DUHAMEL, Rivarol 22.01.09

                                   Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir.

                            Blaise PASCAL philosophe 1623 -1662    



                                                                 Charles Martel-copie-1

                                                      konk2.jpg

                                                          

Archives

DHIMMI SHOW

 Dhimmi Show

Vu sur Fdesouche :

Nous ouvrons une nouvelle rubrique pour "récompenser" les serviteurs fidèles et zélés de l'islamisation du continent européen, le Dhimmi Show.

Dhimmi : Un dhimmi est, selon le droit musulman, un non-musulman ayant conclu, avec les musulmans, un traité de reddition (dhimma) déterminant ses droits et devoirs.

A comparer, l'attitude de ce dhimmi qui usurpe le poste de ministre de l'identité nationale avec celui d'un résistant comme le cardinal Miloslav Vik, rebelle d'or du mois de janvier.




Eric Besson, ministre de l’immigration et de l’identité nationale, hier en visite dans la cité des 4000 à La Courneuve :

« la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble.
Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage »

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


22 mars 2014 6 22 /03 /mars /2014 15:32

06.03.2014 à 14h15 | Par Marie-Luce Mariani (Chercheurse à l'ISAD)

Le 26 février dernier, avec un peu d'avance pour cause d'élections municipales, le Parlement s'est prononcé sur la prolongation de l'opération Sangaris en RCA. Après Harmattan en Libye, Serval au Mali et dans un laps de temps relativement bref, quatre ans seulement, le gouvernement s'est donc pour la troisième fois plié à la procédure de l'article 35 de la Constitution. En effet, lorsque des troupes françaises sont engagées à l'étranger (OPEX) depuis plus de quatre mois, le gouvernement est contraint de demander son autorisation au Parlement pour pouvoir poursuivre l'intervention. À l'Assemblée comme au Sénat une majorité écrasante, rapidement qualifiée d'union sacrée, s'est donc dégagée en faveur de cette prolongation. Pourtant, le résultat du vote contraste fortement avec les critiques virulentes entendues au cours des débats au cours desquels les parlementaires n'ont pas caché leur irritation, voire leur exaspération. Ils ont notamment vivement exprimé leur insatisfaction devant un mécanisme constitutionnel qui les conduit inexorablement à devoir apporter leur soutien inconditionnel au gouvernement. LE PIÈGE DE L'ARTICLE 35 Issu de la loi constitutionnelle dite de « Modernisation des institutions de la Vème République » destinée à rééquilibrer les pouvoirs respectifs de l'exécutif et du législatif, le nouvel article 35 de la Constitution devait renforcer les capacités de contrôle du Parlement sur l'action gouvernementale. En établissant un calendrier institutionnel calqué sur la durée d'une opération militaire entreprise à l'étranger par le gouvernement, il devait répondre au besoin d'information des parlementaires et redonner du pouvoir aux assemblées. Initialement prévu pour la déclaration de guerre, l'article 35 s'applique désormais lorsque le gouvernement décide de « faire intervenir les forces armées à l'étranger ». Dans un premier temps, l'hypothèse envisagée par le texte est manifestement celle d'une intervention dictée par l'urgence et de courte durée. Une obligation d'information est alors mise à la charge du gouvernement. Il dispose de trois jours à compter du début de l'intervention pour informer le Parlement de l'intervention et lui en exposer les objectifs poursuivis. Le gouvernement informe le Parlement. Il ne le consulte pas. En conséquence, l'organisation d'un débat n'est pas obligatoire et, s'il a lieu, il n'est pas suivi d'un vote. Dans un deuxième temps seulement, lorsque le conflit s'installe, ou risque de s'installer, dans la durée, la seule information ne suffit plus. Si les actions se poursuivent au-delà de trois jours mais moins de quatre mois depuis le déclenchement de l'intervention, l'urgence a disparu. Les circonstances poussent à redonner au Parlement un pouvoir de décision, une responsabilité, dont elles l'avaient privé plus haut. Un débat suivi d'un vote doit être organisé. UN PACTE OBLIGATOIRE DE SOLIDARITÉ AVEC LE GOUVERNEMENT En fin de compte, bien que la guerre figure dans le code de la défense au titre des régimes juridiques de défense d'application exceptionnelle et que le Parlement demeure compétent pour autoriser la déclaration de guerre, ce pouvoir est largement théorique, aujourd'hui. De la même façon, dans son contrôle de l'action gouvernementale sur un sujet aussi sensible que l'envoi des troupes en opération à l'étranger, il se trouve placé devant le fait accompli. Il est contraint à un pacte obligatoire de solidarité d'abord avec nos forces, mais aussi, par voie de conséquence avec le gouvernement, et, donc, avec le chef de l'État, chef des armées. Il est évident, les débats le démontrent amplement, que la décision de prolonger les opérations est nécessairement influencée par le fait que des soldats français combattent toujours sur le terrain. De ce point de vue, le jeu de l'article 35, désormais appelé à s'appliquer très régulièrement, conduira toujours nécessairement et mécaniquement à un vote positif de prolongation. UN RÉGIME JURIDIQUE AUTONOME POUR LES OPEX Au-delà de la seule opération Sangaris, la combinaison des dispositions constitutionnelles, de la nouvelle loi de programmation militaire et des dispositions déjà inscrites dans le code de la défense, conduit indiscutablement à l'émergence d'un régime juridique autonome propre aux OPEX dans le droit français. Du point de vue du travail parlementaire, il se caractérise par la mise en place de missions d'information et l'organisation d'un débat annuel portant sur les interventions en cours. C'est un droit à l'information qui est reconnu au Parlement et non un pouvoir de décision. Sur ce point la frustration des parlementaires se heurtera également au principe de l'article L 1111-2 du code de la défense qui prévoit expressément de confier la direction de la « défense » au pouvoir exécutif. En outre, en substituant la notion de « stratégie de sécurité nationale » à celle, plus traditionnelle, de « défense nationale » l'article L 1111-1 nouveau du code de la défense ouvre la voie à un usage de la force armée qui ne serait plus fondé sur de l'idée de protection du territoire national ou de la protection de la vie de la population française. Le droit français de la défense fournit ainsi au gouvernement une légitimité politique et une sécurité juridique quant aux OPEX qui lui ont été vivement contestées le 26 février au soir. Marie-Luce Mariani (Chercheurse à l'ISAD)

Partager cet article
Repost0

commentaires